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Critique de LabiblideVal
Voilà un genre littéraire que je n'avais plus lu depuis, oh, trente ans!!! Je me souviens avoir eu une période "vampires-goules-démons" en entrant au collège!
C'est l'opération "Masse critique jeunesse" qui m'a fait renouer avec la littérature fantastique destinée à un jeune public. Même si je n'ai pas été retenue pour y participer, la présentation de ce livre, puis la critique de la lectrice l'ayant reçu, lu et commenté m'ont alléchée!
Hé bien, je n'ai pas été déçue! Je me suis volontiers laissée emportée par ce duo de soeurs anglaises, Ingrid et Gaby, en vadrouille dans le Paris de la fin du XIXe siècle, dans un univers peuplé de gargouilles missionnées pour protéger les humains d'un monde souterrain peuplé de Chiens de l'Enfer et autres démons dégoûtants et cruels!
Bien sûr, l'amour ne cesse de tourmenter ces jeunes donzelles... Mais comment vivre sereinement une relation entre une créature et un être humain. C'est évidemment impossible...
J'ai vraiment dévoré avec entrain ce roman de 500 pages, mais je reconnais avoir été parfois agacée par le côté "capricieux" de ces filles de la haute société. En même temps, les préoccupations de ces jeunettes ne sont plus les miennes...
C'est l'opération "Masse critique jeunesse" qui m'a fait renouer avec la littérature fantastique destinée à un jeune public. Même si je n'ai pas été retenue pour y participer, la présentation de ce livre, puis la critique de la lectrice l'ayant reçu, lu et commenté m'ont alléchée!
Hé bien, je n'ai pas été déçue! Je me suis volontiers laissée emportée par ce duo de soeurs anglaises, Ingrid et Gaby, en vadrouille dans le Paris de la fin du XIXe siècle, dans un univers peuplé de gargouilles missionnées pour protéger les humains d'un monde souterrain peuplé de Chiens de l'Enfer et autres démons dégoûtants et cruels!
Bien sûr, l'amour ne cesse de tourmenter ces jeunes donzelles... Mais comment vivre sereinement une relation entre une créature et un être humain. C'est évidemment impossible...
J'ai vraiment dévoré avec entrain ce roman de 500 pages, mais je reconnais avoir été parfois agacée par le côté "capricieux" de ces filles de la haute société. En même temps, les préoccupations de ces jeunettes ne sont plus les miennes...
