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Critique de kuroineko
Une multitude d'yeux tout ronds ont capté mon regard dans la librairie. Des dizaines de pingouins, un titre qui y fait référence et cette petite phrase en exergue "L'apocalypse, d'accord, mais avec des pingouins"... Une seule question m'a traversé l'esprit: mais qu'est- ce que c'est que ce bouquin?! Difficile de ne pas céder à l'envie de résoudre le mystère du titre!
Aussitôt acheté, aussitôt lu. Et une seule question m'a traversé l'esprit en tournant la dernière page: c'était quoi, ce bouquin?!
Alors, si la découverte d'OLNI ne vous fait pas peur, si les histoires échevelées et les gamins surdoués ne vous rebutent pas trop, n'hésitez pas à plonger en plein Mystère des pingouins.
J'y ai ainsi fait la connaissance d'un petit garçon d'une prodigieuse intelligence, Aoyama, muni de son cahier où il note toutes les réflexions de ses géniales cellules grises et tout se qui se passe dans sa ville. Et celle-ci se trouve justement prise dans une série d'événements pas ordinaires du tout, à commencer par l'apparition subite un beau matin d'une colonie de pingouins dans le parc - en fait, des manchots empereurs. Que font-ils là? Comment sont-ils arrivés sans crier gare? Voilà certaines des questions de départ apposées dans le cahier d'Aoyama. Pour en savoir plus, le mieux est encore de faire le chemin en compagnie du petit garçon et de ses camarades d'enquête.
Il y a quelque chose de complètement rafraîchissant dans ce roman. Les propos d'Aoyama et ses petites manies ne manquent ni de piquant ni d'humour. Esprits cartésiens très avérés, ce livre peut déplaire car il est vrai qu'on en ressort sans guère de certitudes sur les tenants et les aboutissants de l'intrigue. C'est aussi l'un des charmes de ce mystère : se laisser entraîner par les pages sans être sûr d'obtenir toutes les réponses. le bonheur est dans le cheminement, paraît-il...
Tomihiko Morimi signe avec son Mystère des pingouins un roman comme un kôan zen. Ça intrigue, ça fascine, ça interroge, à l'image d'Aoyama toujours en quête de nouveaux savoirs, de nouvelles réflexions, ça déroute mais, surtout, ça fait du bien!
Aussitôt acheté, aussitôt lu. Et une seule question m'a traversé l'esprit en tournant la dernière page: c'était quoi, ce bouquin?!
Alors, si la découverte d'OLNI ne vous fait pas peur, si les histoires échevelées et les gamins surdoués ne vous rebutent pas trop, n'hésitez pas à plonger en plein Mystère des pingouins.
J'y ai ainsi fait la connaissance d'un petit garçon d'une prodigieuse intelligence, Aoyama, muni de son cahier où il note toutes les réflexions de ses géniales cellules grises et tout se qui se passe dans sa ville. Et celle-ci se trouve justement prise dans une série d'événements pas ordinaires du tout, à commencer par l'apparition subite un beau matin d'une colonie de pingouins dans le parc - en fait, des manchots empereurs. Que font-ils là? Comment sont-ils arrivés sans crier gare? Voilà certaines des questions de départ apposées dans le cahier d'Aoyama. Pour en savoir plus, le mieux est encore de faire le chemin en compagnie du petit garçon et de ses camarades d'enquête.
Il y a quelque chose de complètement rafraîchissant dans ce roman. Les propos d'Aoyama et ses petites manies ne manquent ni de piquant ni d'humour. Esprits cartésiens très avérés, ce livre peut déplaire car il est vrai qu'on en ressort sans guère de certitudes sur les tenants et les aboutissants de l'intrigue. C'est aussi l'un des charmes de ce mystère : se laisser entraîner par les pages sans être sûr d'obtenir toutes les réponses. le bonheur est dans le cheminement, paraît-il...
Tomihiko Morimi signe avec son Mystère des pingouins un roman comme un kôan zen. Ça intrigue, ça fascine, ça interroge, à l'image d'Aoyama toujours en quête de nouveaux savoirs, de nouvelles réflexions, ça déroute mais, surtout, ça fait du bien!
