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Critique de Lagriffe
Je suis toujours ausi mauvais pour rédiger une critique, mais je suggère à tous les férus d'art et/ou de psychanalyse de jeter un oeil sur ce livre écrit par une historienne de l'art (férue de psychanalyse) paru en 2015 et d'en rédiger une véritable critique.
Voici ce qu'en dit l'éditeur :
"Cette étude inédite met pour la première fois en lumière la psychose paranoïaque dont souffrait Ensor. Stéphanie Moris a rassemblé des documents exceptionnels, non publiés à ce jour, et se fonde sur les déclarations mêmes de l'artiste pour nous faire suivre l'évolution des troubles psychiques d'Ensor, du déclenchement de la psychose à sa pacification. L'analyse met en exergue le rôle salvateur de la musique à laquelle se consacre Ensor au tournant du siècle, de l'identification à Wagner jusqu'à la réalisation de son ballet La Gamme d'amour, où communient poésie, musique et peinture, en référence à «L'art total». Par un investissement dans la création musicale, l'artiste s'est employé en une auto-thérapie insolite, à conjurer la menace du chaos interne. Une place significative est laissée dans cette approche lacanienne aux paroles d'Ensor, par le biais de nombreuses citations puisées dans ses écrits épistolaires, autographes ou publiés."
Moi, j'ai adoré ce livre, en dépit de mon Lacanalphabétisme qui me fait passer à côté de pas mal de subtilités. La force du livre est cependant d'être lisible et appréciable même si on partage mon lacanalphabétisme.
Pour moi, James Ensor est un Schizo-rationaliste à 90%, ce qui ne plaIra peut-être pas à Stéphanie Moris, mais son potentiel courroux aurait pu être pire si j'avais lu son livre avant de rédiger le Manifeste schizo-rationaliste Ou petit guide de survie à l'usage de l'Athée misanthrope !
Pour conclure, c'est bien écrit, fruit d'une véritable recherche, pas répétitif, pas inutilement jargonnant, bref c'est réussi.
Joe Lagriffe dit Sven Andersen ou le contraire...
Voici ce qu'en dit l'éditeur :
"Cette étude inédite met pour la première fois en lumière la psychose paranoïaque dont souffrait Ensor. Stéphanie Moris a rassemblé des documents exceptionnels, non publiés à ce jour, et se fonde sur les déclarations mêmes de l'artiste pour nous faire suivre l'évolution des troubles psychiques d'Ensor, du déclenchement de la psychose à sa pacification. L'analyse met en exergue le rôle salvateur de la musique à laquelle se consacre Ensor au tournant du siècle, de l'identification à Wagner jusqu'à la réalisation de son ballet La Gamme d'amour, où communient poésie, musique et peinture, en référence à «L'art total». Par un investissement dans la création musicale, l'artiste s'est employé en une auto-thérapie insolite, à conjurer la menace du chaos interne. Une place significative est laissée dans cette approche lacanienne aux paroles d'Ensor, par le biais de nombreuses citations puisées dans ses écrits épistolaires, autographes ou publiés."
Moi, j'ai adoré ce livre, en dépit de mon Lacanalphabétisme qui me fait passer à côté de pas mal de subtilités. La force du livre est cependant d'être lisible et appréciable même si on partage mon lacanalphabétisme.
Pour moi, James Ensor est un Schizo-rationaliste à 90%, ce qui ne plaIra peut-être pas à Stéphanie Moris, mais son potentiel courroux aurait pu être pire si j'avais lu son livre avant de rédiger le Manifeste schizo-rationaliste Ou petit guide de survie à l'usage de l'Athée misanthrope !
Pour conclure, c'est bien écrit, fruit d'une véritable recherche, pas répétitif, pas inutilement jargonnant, bref c'est réussi.
Joe Lagriffe dit Sven Andersen ou le contraire...
