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Critique de AV
Dans « Trois Fées des Mers », sont remis à l'honneur trois auteurs du XIXème dont on se souvient peu aujourd'hui : Alphonse Karr, Emile Souvestre et Paul Sébillot.
Comme le nom du livre l'indique ces récits merveilleux ont le point commun d'être construits autour de la présence d'une fée marine (de forme différente dans chaque histoire), tantôt bienveillante, tantôt malintentionnée.
Au fur et à mesure des textes on tire en réalité vers la tradition du conte populaire et l'oralité.
Le premier, « Les Fées de la Mer », est le plus long, le plus « écrit » et le plus proche de la nouvelle. Tous les ingrédients du conte sont là, du début à la fin, mais l'intrigue du récit est plus développée et construite. le « royaume » marin des fées est davantage présent également.
Les deux suivants, « La groac'h de l'île du Lok » et « La seraine de la Fresnaye », se rattachent au folklore breton et à la poésie de la littérature orale chère à Nerval, comme le rappelle plusieurs fois la préfacière. Les récits sont courts, simples, on a même deux versions de « La seraine de la Fresnaye » avec, pour chacune, le nom de la conteuse, son âge et la date à laquelle l'histoire a été transmise.
Les trois textes partagent un mélange d'humour et de douceur qui ne limite pas leur lecture aux petits mais pourra aussi ravir les plus grands.
Attention, la postface vaut la peine d'être lue, indépendamment de son intérêt « informatif », puisque quatre contes très brefs y sont cachés.
Comme le nom du livre l'indique ces récits merveilleux ont le point commun d'être construits autour de la présence d'une fée marine (de forme différente dans chaque histoire), tantôt bienveillante, tantôt malintentionnée.
Au fur et à mesure des textes on tire en réalité vers la tradition du conte populaire et l'oralité.
Le premier, « Les Fées de la Mer », est le plus long, le plus « écrit » et le plus proche de la nouvelle. Tous les ingrédients du conte sont là, du début à la fin, mais l'intrigue du récit est plus développée et construite. le « royaume » marin des fées est davantage présent également.
Les deux suivants, « La groac'h de l'île du Lok » et « La seraine de la Fresnaye », se rattachent au folklore breton et à la poésie de la littérature orale chère à Nerval, comme le rappelle plusieurs fois la préfacière. Les récits sont courts, simples, on a même deux versions de « La seraine de la Fresnaye » avec, pour chacune, le nom de la conteuse, son âge et la date à laquelle l'histoire a été transmise.
Les trois textes partagent un mélange d'humour et de douceur qui ne limite pas leur lecture aux petits mais pourra aussi ravir les plus grands.
Attention, la postface vaut la peine d'être lue, indépendamment de son intérêt « informatif », puisque quatre contes très brefs y sont cachés.
