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Critique de CVolland
Passionné et impertinent nous promettait la couverture et bien force est de constater qu'll ne s'agissait pas de publicité mensongère.
S'armer d'auto dérision est un prérequis nécessaire à la lecture de ce dictionnaire qui fera grincer beaucoup de dents y compris les miennes.
En effet, tout le monde en prend pour son grade, l'autochtone comme le "Parisien" (Parisien est à prendre au sens large...) mais comme tout est dit sans intention de blesser, avec bienveillance (mot à la mode) et surtout érudition, cela reste parfaitement dicible.
Résolument réactionnaire, Pierre Moulier possède un niveau de réactions que j'estime à neuf sur dix sur l'échelle de Renaud Camus.
Parfois surprenantes ses détestations vont jusqu'à fustiger le randonneur, forcément inculte qui ne s'intéresserais qu'à la "nature" et pas aux patrimoines. D'ailleurs il le dit, il préfère contempler les montagnes depuis l'asphalte au volant de sa voiture. Etonnant !
Etonnant aussi, l'auteur pousse le bouchon encore plus loin en préférant une toiture en tôle ondulé si possible rouillé à un toi en lauzes car de toute façon c'est le toit en chaume qui est historiquement la couverture local...
Un degré de réaction hors norme donc, qui nous rappelle à nous autres réac en herbe qu'il nous reste encore du chemin à parcourir avant de devenir pleinement le vieux c.. que l'on à tous rêver d'être un jour...
S'armer d'auto dérision est un prérequis nécessaire à la lecture de ce dictionnaire qui fera grincer beaucoup de dents y compris les miennes.
En effet, tout le monde en prend pour son grade, l'autochtone comme le "Parisien" (Parisien est à prendre au sens large...) mais comme tout est dit sans intention de blesser, avec bienveillance (mot à la mode) et surtout érudition, cela reste parfaitement dicible.
Résolument réactionnaire, Pierre Moulier possède un niveau de réactions que j'estime à neuf sur dix sur l'échelle de Renaud Camus.
Parfois surprenantes ses détestations vont jusqu'à fustiger le randonneur, forcément inculte qui ne s'intéresserais qu'à la "nature" et pas aux patrimoines. D'ailleurs il le dit, il préfère contempler les montagnes depuis l'asphalte au volant de sa voiture. Etonnant !
Etonnant aussi, l'auteur pousse le bouchon encore plus loin en préférant une toiture en tôle ondulé si possible rouillé à un toi en lauzes car de toute façon c'est le toit en chaume qui est historiquement la couverture local...
Un degré de réaction hors norme donc, qui nous rappelle à nous autres réac en herbe qu'il nous reste encore du chemin à parcourir avant de devenir pleinement le vieux c.. que l'on à tous rêver d'être un jour...
