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Critique de moonbook_
Quand je suis passée à côté de ce livre et que j'ai vu cette jolie couverture il ne m'en a pas fallu plus pour me convaincre. La fille de la supérette a également reçu le prix Akatagawa qui est l'équivalent du prix Goncourt au Japon.
Il est construit de manière assez spéciale, il n'y pas de chapitre mais il est assez court et se lit relativement bien.
Dans son ouvrage, Sayaka Murata offre à travers le personnage de Keiko Furukura, employée d'un Konbini (appellation d'une supérette au Japon), une exploration fascinante des normes sociales japonaise (qui finalement sont retrouvent dans la plupart des sociétés).
Il nous montre alors les défis de la non-conformité dans une société fortement structuré. En effet, Keito qui a la trentaine passé n'a jamais connu d'homme, elle s'obstine à travailler dans un konbini à temps partiel depuis 18 ans bien qu'elle ai un diplôme et qu'elle puisse trouver un emploi ailleurs ce qui intrigue fortement son entourage.
J'avoue avoir été très surprise de la fin, je ne m'attendais absolument pas à ça.
Dans l'ensemble, je dirai que c'est une oeuvre assez unique qui nous pousse à la réflexion sur le fonctionnement de la société et sur sa propre identité.
Il est construit de manière assez spéciale, il n'y pas de chapitre mais il est assez court et se lit relativement bien.
Dans son ouvrage, Sayaka Murata offre à travers le personnage de Keiko Furukura, employée d'un Konbini (appellation d'une supérette au Japon), une exploration fascinante des normes sociales japonaise (qui finalement sont retrouvent dans la plupart des sociétés).
Il nous montre alors les défis de la non-conformité dans une société fortement structuré. En effet, Keito qui a la trentaine passé n'a jamais connu d'homme, elle s'obstine à travailler dans un konbini à temps partiel depuis 18 ans bien qu'elle ai un diplôme et qu'elle puisse trouver un emploi ailleurs ce qui intrigue fortement son entourage.
J'avoue avoir été très surprise de la fin, je ne m'attendais absolument pas à ça.
Dans l'ensemble, je dirai que c'est une oeuvre assez unique qui nous pousse à la réflexion sur le fonctionnement de la société et sur sa propre identité.
