>
Critique de chartel
Encore une fois, les Editions Cornélius ne me déçoivent pas, bien au contraire, elles suscitent la rencontre avec un nouvel auteur, Nadja, peintre, écrivain, dessinatrice, avec cette bande-dessinée troublante et remarquable : "L'homme de mes rêves".
Contrairement aux contes de fées, l'histoire dérape quand Kate rencontre Quentin, le prince charmant macho et charmeur, l'archétype du fantasme féminin. Comme prévu, la vie au jour le jour avec ce genre d'homme n'est pas de tout repos et Kate va vite déchanter.
Ce point de départ nous emmène dans les méandres des rêves et des angoisses de cette jeune femme quelque peu désemparée qui cherchera une porte de sortie.
C'est une très belle histoire, portée par un dessin volontairement grossier et baveux. Mais c'est souvent l'inverse qui se joue dans cette oeuvre, où le texte accompagne quasiment le dessin. Des peintures où les corps et certains objets sont érotisés par des notes rouge vif sur fond bleu-gris. Nadja réussit à exprimer le désir innocent que peut susciter Kate chez les hommes et les malentendus qui l'accompagnent.
Contrairement aux contes de fées, l'histoire dérape quand Kate rencontre Quentin, le prince charmant macho et charmeur, l'archétype du fantasme féminin. Comme prévu, la vie au jour le jour avec ce genre d'homme n'est pas de tout repos et Kate va vite déchanter.
Ce point de départ nous emmène dans les méandres des rêves et des angoisses de cette jeune femme quelque peu désemparée qui cherchera une porte de sortie.
C'est une très belle histoire, portée par un dessin volontairement grossier et baveux. Mais c'est souvent l'inverse qui se joue dans cette oeuvre, où le texte accompagne quasiment le dessin. Des peintures où les corps et certains objets sont érotisés par des notes rouge vif sur fond bleu-gris. Nadja réussit à exprimer le désir innocent que peut susciter Kate chez les hommes et les malentendus qui l'accompagnent.
