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Critique de sylvaine
C'est en parcourant une liste babelio: Grands-parents, trésors d'amour et de leçons de vie que j ai déniché ce court roman de Kaho Nashiki . Un avant-propos parlant, de bonnes critiques et surtout une superbe couverture ...
Quelques 168 p plus tard me voilà arrivée au bout de ma lecture. Dire que je suis enthousiaste serait mentir.
Mai est montée dans la Mini de sa Maman, les nouvelles ne sont pas bonnes. Sa grand-mère chérie, la sorcière de l'ouest vient de décéder. 6 heures de route... Mai se souvient de ce merveilleux été qu'elle a passé en sa compagnie. C'était il y a deux ans, Mai souffrait de crises d'asthme exacerbées par le stress et ne voulait plus retourner à l'école. Elle s'était donc retrouvée en pleine nature chez sa grand-mère, veuve depuis peu. Auprès d'elle elle s'était apaisée au fil des jours et avait retrouvé l'envie de se battre contre l'adversité et appris à tenir ses engagements.
Pourquoi cette peur phobique de l'école? on ne le sait pas vraiment. Est-ce que le métissage sino-européen en était la raison? cela n'est pas explicitement dit . Les proches de Mai l'ont laissée dans le non-dit, à elle de trouver l'énergie de surmonter cette épreuve, sans doute la même que sa Maman avait du elle aussi endurer.
Sagesse, douceur, sont les maitres mots de ce texte. Mai et sa grand-mère vivent en vase clos, immergées dans la nature , occupées aux tâches domestiques quotidiennes..
Fort joliment écrit, ce texte est un chant d'amour adressé par Mai à sa grand-mère.
Intruse voilà mon ressenti.
Quelques 168 p plus tard me voilà arrivée au bout de ma lecture. Dire que je suis enthousiaste serait mentir.
Mai est montée dans la Mini de sa Maman, les nouvelles ne sont pas bonnes. Sa grand-mère chérie, la sorcière de l'ouest vient de décéder. 6 heures de route... Mai se souvient de ce merveilleux été qu'elle a passé en sa compagnie. C'était il y a deux ans, Mai souffrait de crises d'asthme exacerbées par le stress et ne voulait plus retourner à l'école. Elle s'était donc retrouvée en pleine nature chez sa grand-mère, veuve depuis peu. Auprès d'elle elle s'était apaisée au fil des jours et avait retrouvé l'envie de se battre contre l'adversité et appris à tenir ses engagements.
Pourquoi cette peur phobique de l'école? on ne le sait pas vraiment. Est-ce que le métissage sino-européen en était la raison? cela n'est pas explicitement dit . Les proches de Mai l'ont laissée dans le non-dit, à elle de trouver l'énergie de surmonter cette épreuve, sans doute la même que sa Maman avait du elle aussi endurer.
Sagesse, douceur, sont les maitres mots de ce texte. Mai et sa grand-mère vivent en vase clos, immergées dans la nature , occupées aux tâches domestiques quotidiennes..
Fort joliment écrit, ce texte est un chant d'amour adressé par Mai à sa grand-mère.
Intruse voilà mon ressenti.
