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Critique de Sylviegeo


Il fallait bien suivre Niklas Natt och Datt en 1794. Et ho, les choses ne se sont pas améliorées. Loin de là. Stockholm a bien du mal à se trouver une personnalité. En tout cas, Reuterholm, le baron qui règne sur la ville en dictateur tente, avec assez de succès, d'y lasser sa marque.
1794 débute avec le jeune Tre Rosor riche héritier malhabile qui se verra exiler, avec un cousin, par un père qui voudrait lui forger le caractère. Nous voici donc à St Barthélémy où l'on découvre une Suède esclavagiste, colonialiste avec tout ce qu'il y a de laid chez l'homme. Rien de bien rassurant pour la suite car on sent que les personnages rencontrés à St Barthelemy nous rejoindrons à Stockholm.
À Stockholm la vie n'est pas plus jolie pour Cardell, sans raison de vivre vraiment, pourquoi continuer ? Il fera toutefois la rencontre du frère de Winge et le voilà reparti à chasser la pourriture, à vouloir purger cette crasse qui se cache souvent sous le vernis des riches et des beaux.
1794 c'est sans lumière, c'est noir, c'est ténébreux , c'est pouilleux , c'est la dépravation à son paroxysme, ça pue...
Comment finira ce siècle suédois qui a peur des révolutions?
Espérons que 1795 nous éclairera d'un peu de lumière car là on n'y voit peu d'espoir et c'est très troublant.
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