Il faudrait donc enterrer
Houellebecq parce qu'il a tout fait pour avoir du succès, et parce qu'il a réussi. Son écriture, apparemment sans relief, ne lui permet pas de revendiquer son inscription dans le domaine littéraire. Il aurait flirté avec les catégories de personnes qu'il conspue dans ses livres pour s'arroger une petite part du gâteau.
C'est ce que lui reproche Naulleau.
Je crois que je n'ai toujours pas lu
La possibilité d'une île.
(à côté de cette critique ad hominem, quelques réflexions pas totalement fausses sur la décadence du monde littéraire devenu marché aux bestiaux.)
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