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Critique de Sofiert
Cette histoire simple, un peu marginale dans la production de Jo Nesbo, nous emmène dans le Nord de la Norvège au Finnmark, en compagnie d'un pauvre type bien sympathique, un tueur incapable d'appuyer sur la gâchette.
Fuyant des tueurs à gages qui le poursuivent, Jon Hansen débarque dans une communauté laestadienne, mouvement religieux conservateur né en Laponie.
Petit dealer raté, il n'a pu sauver sa fille de la leucémie et trouve une famille de substitution en rencontrant Léa et son fils. Adopté et protégé par la petite communauté, Jon commence à croire à une rédemption possible, même s'il est athée.
Parallèlement, Léa dont la vie a été gâchée par les impératifs moraux de sa religion ( elle a dû épouser son violeur), est devenue veuve et envisage la possibilité d'une autre vie.
La traque dont Jon est victime passe alors au second plan pour révéler une jolie histoire d'amour qui se lit avec plaisir.
Fuyant des tueurs à gages qui le poursuivent, Jon Hansen débarque dans une communauté laestadienne, mouvement religieux conservateur né en Laponie.
Petit dealer raté, il n'a pu sauver sa fille de la leucémie et trouve une famille de substitution en rencontrant Léa et son fils. Adopté et protégé par la petite communauté, Jon commence à croire à une rédemption possible, même s'il est athée.
Parallèlement, Léa dont la vie a été gâchée par les impératifs moraux de sa religion ( elle a dû épouser son violeur), est devenue veuve et envisage la possibilité d'une autre vie.
La traque dont Jon est victime passe alors au second plan pour révéler une jolie histoire d'amour qui se lit avec plaisir.
