Ci-gît l'écrit pathologique d'un être prisonnier de sa propre folie. Il faudra désormais parler au passé de cet excrément littéraire et de son géniteur puisqu'ils sont tous les deux condamnés à l'amnésie collective tant la chose suinte, dégouline et poisse de malhonnêteté intellectuelle.
Nesnidal était seul, le monde qu'il décrivait appartenait à son for intérieur et non à la réalité telle que tous ceux qui étaient passés par une classe préparatoire l'avaient vécue.
Cette histoire était une affabulation, son créateur un illusionniste.
La Purge fut vite oubliée ainsi que son auteur qui plongea dans les ténèbres de la démence littéraire.
Fin de l'histoire, lecteurs, passez votre chemin.
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