Entre Paris et Nohant, entre sa mère et sa grand-mère, la jeune fille prénommée Aurore attrape très vite la passion d'écrire des petits billets, des lettres des histoires pour communiquer avec ceux qui lui manquent ou pour égayer son entourage. Ses amies du couvent des Augustines anglaises la surnomment d'ailleurs calepin. Elle porte aussi les petits noms de "sunrise" ou "some bread" traduction d'Aurore Dupin.
Écartelée entre ses origines populaires et aristocratiques, entre la campagne berrichonne et le tumulte de la ville, elle révèle un caractère à multiples facettes.
Femme se voulant libérée du carcan du mari, elle acquiert son indépendance et une notoriété en écrivant des romans.
Elle se moque du regard des autres, porte le pantalon, affirme ses opinions politiques, bref elle ne fait rien de ce que la société attend d'une femme de son époque.
Je remercie les Éditions Riveneuve et Babelio pour cette biographie dont les points de repères historiques sont intéressants.
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