Mon amie Isabelle m'avait longuement parlé de ce livre et j'ai eu très envie de le lire. Une autre Isabelle, qui se reconnaîtra, me l'a gentiment offert. Merci.
Je ne pourrais jamais aller en Birmanie, pourtant c'est un pays que j'aurai souhaité découvrir.
C'est avec « l'art d'écouter les battements de coeur » que je suis tombée « amoureuse » de ce Pays.
Alors qu'au premier regard, il semble si « pauvre », il possède une richesse intérieure extraordinaire.
Isabelle Never, suite à la plus douloureuse des tragédies, nous amène en Birmanie où toutes les reconstructions semblent possibles puisque nous nous retrouvons face à l'ESSENTIEL, la mort n'est pas une fin définitive, l'AMOUR reste et sera toujours le fil invisible et incassable entre ceux qui se croisent, se rencontrent et s'unissent.
MERCI Isabelle pour votre capacité à mettre en mots toute la beauté, la richesse et la préciosité de la VIE.
Si cette année vous deviez lire un seul livre, je vous conseille de lire «
il n'est jamais plus tard que minuit ». La violence, la beauté du paysage et la spiritualité de la Birmanie sont décrits par un vrai témoin, puisqu'Isabelle y a vécu. L'être humain avec toutes ses incertitudes, ses questionnements et sa résilience est merveilleusement abordé.
Un livre que l'on lit lentement, doucement et que l'on voudrait ne pas refermer.
Isabelle, j'attends un nouveau roman de vous, ne me faites pas trop languir.