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Critique de fabienne2909
J'ai beaucoup entendu parler de Cerise depuis quelques mois, grâce aux challenges que je suis, et avant de devenir une aficionada de Babelio, ce prénom me faisait surtout penser à Groupama. Une mauvaise blague fera-t-elle une bonne critique ? Pas sûr…
Cerise a dix ans et demi, et son rêve est d'être plus tard écrivaine (et pas de travailler dans les assurances) [NDlR : attaquée par un homme vert végétal, l'autrice de ces lignes est partie se refaire une santé. Nous vous livrons ses notes brutes pour terminer cette critique]. Pour ce faire, sur les conseils avisés de sa mère, elle écrit régulièrement dans son carnet et mène des enquêtes innocentes sur les personnes qui l'entourent, afin d'en savoir plus sur la psychologie de chacun. Entourée de ses amies Line et Erica, elle met cette fois-ci ses exercices de psychologie en pratique sur un homme mystérieux, ce qui pourrait cette fois-ci s'avérer dangereux… En effet, les trois amies le repèrent depuis leur cabane dans les bois, revenant du coeur de la forêt recouvert de peinture. Que peut-il bien faire ? Elles le découvriront à leurs risques – au tiers ? – et périls….
Si « Les carnets de Cerise » s'adressent en premier lieu à un jeune public (c'est la première fois que je partage un livre avec ma fille de sept ans), ils dégagent un tel charme, entre la personnalité attachante de cette intrépide Cerise et les dessins magnifiques à l'aquarelle, que je n'ai pu y résister. La liberté de Cerise, qui va et vient comme elle le souhaite, qui passe son temps avec ses deux meilleures copines dans leur cabane aménagée, m'a rappelé de jolis souvenirs d'enfance. J'ai également beaucoup aimé l'alternance d'extraits écrits du carnet et l'histoire dessinée, qui est originale et offre une pause dans le récit. C'est gentil mais pas niais, et on peut y lire un joli message sur la relation parents-enfants : hé oui, les enfants et leurs parents peuvent se retrouver sur des thèmes communs, ces derniers ayant été aussi des enfants. Et que s'il est difficile de se dire les choses parfois, c'est important d'essayer, et on a tout à y gagner.
Il se pourrait bien que je pique les autres volumes à ma fille…
Cerise a dix ans et demi, et son rêve est d'être plus tard écrivaine (et pas de travailler dans les assurances) [NDlR : attaquée par un homme vert végétal, l'autrice de ces lignes est partie se refaire une santé. Nous vous livrons ses notes brutes pour terminer cette critique]. Pour ce faire, sur les conseils avisés de sa mère, elle écrit régulièrement dans son carnet et mène des enquêtes innocentes sur les personnes qui l'entourent, afin d'en savoir plus sur la psychologie de chacun. Entourée de ses amies Line et Erica, elle met cette fois-ci ses exercices de psychologie en pratique sur un homme mystérieux, ce qui pourrait cette fois-ci s'avérer dangereux… En effet, les trois amies le repèrent depuis leur cabane dans les bois, revenant du coeur de la forêt recouvert de peinture. Que peut-il bien faire ? Elles le découvriront à leurs risques – au tiers ? – et périls….
Si « Les carnets de Cerise » s'adressent en premier lieu à un jeune public (c'est la première fois que je partage un livre avec ma fille de sept ans), ils dégagent un tel charme, entre la personnalité attachante de cette intrépide Cerise et les dessins magnifiques à l'aquarelle, que je n'ai pu y résister. La liberté de Cerise, qui va et vient comme elle le souhaite, qui passe son temps avec ses deux meilleures copines dans leur cabane aménagée, m'a rappelé de jolis souvenirs d'enfance. J'ai également beaucoup aimé l'alternance d'extraits écrits du carnet et l'histoire dessinée, qui est originale et offre une pause dans le récit. C'est gentil mais pas niais, et on peut y lire un joli message sur la relation parents-enfants : hé oui, les enfants et leurs parents peuvent se retrouver sur des thèmes communs, ces derniers ayant été aussi des enfants. Et que s'il est difficile de se dire les choses parfois, c'est important d'essayer, et on a tout à y gagner.
Il se pourrait bien que je pique les autres volumes à ma fille…
