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Critique de Mareva47
Désolée de jeter un pavé dans la mare de ce concert de louanges mais je viens de terminer la lecture de Mademoiselle Berthe et je suis en colère …
L'auteure a choisi de parler à la première personne, entrant dans la peau et la tête de Berthe Morisot, ce qui ne manque pas d'audace pour ne pas dire de présomption. Sur le fond, nous n'apprenons pas grand-chose de plus que ce qu'en dit Wikipedia. Quant à la forme, ce n'est qu'une succession de fautes orthographiques ou grammaticales ! Exemple : « Il lui montre ce dont nous étions désormais capables de peindre. » (p.7) « (…) les amants que nous avons étés » (p.66) « J'ouvre le tiroir, saisi ma plume et un papier. » (p.110) « Nous avons délaissé les salons et fuit la platitude des sujets. » (p.121) J'en passe et des bien pires : les accords de participes incorrects, la confusion entre futur et conditionnel … Oui, je suis en colère ! Quand on se pique d'écrire, la moindre des élégances est de s'intéresser à la langue, ne serait-ce que par respect pour le lecteur ! Et (message également à l'intention des maisons d'édition) il existe un métier qui semble de moins en moins prisé : correcteur !
L'auteure a choisi de parler à la première personne, entrant dans la peau et la tête de Berthe Morisot, ce qui ne manque pas d'audace pour ne pas dire de présomption. Sur le fond, nous n'apprenons pas grand-chose de plus que ce qu'en dit Wikipedia. Quant à la forme, ce n'est qu'une succession de fautes orthographiques ou grammaticales ! Exemple : « Il lui montre ce dont nous étions désormais capables de peindre. » (p.7) « (…) les amants que nous avons étés » (p.66) « J'ouvre le tiroir, saisi ma plume et un papier. » (p.110) « Nous avons délaissé les salons et fuit la platitude des sujets. » (p.121) J'en passe et des bien pires : les accords de participes incorrects, la confusion entre futur et conditionnel … Oui, je suis en colère ! Quand on se pique d'écrire, la moindre des élégances est de s'intéresser à la langue, ne serait-ce que par respect pour le lecteur ! Et (message également à l'intention des maisons d'édition) il existe un métier qui semble de moins en moins prisé : correcteur !
