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Critique de lyanea
Avis : HALETANT
Tout d'abord, je tiens à remercier Marie Nocenti, découverte avec l'interview de Joëlle Marchal dans le groupe « Lecteurs auteurs : la passion des mots », à qui j'ai exprimé le désir de lire deux autres de ses romans après « Au-delà des collines », chroniqué précédemment.
J'ai retrouvé le souffle déjà ressenti, et plongeant dans un long bain récupérateur, j'ai tourné les pages et poursuivi dans mon lit jusqu'à ce que le sommeil m'emporte, derniers mots lus.
Nous sommes en Amérique, à la fin du XIXème siècle. John Parker regagne son ranch en traversant la région de Wounded Knee, théâtre du massacre des sioux lors des dernières guerres indiennes. Grâce à son chien, il découvre une indienne et son frère, miraculeusement sauvés de la tuerie mais en grand danger. Ils s'apprivoiseront, deviendront amis et fonderont une famille. Mais les préjugés ne leur faciliteront pas la vie et le pire se produira. John Parker, homme respecté de tous, essaiera d'offrir le meilleur à ses deux enfants métis mais la société ne leur fera aucun cadeau. Wimona Louise, sa fille, aura un destin cruel mais sa fougue, sa fierté et son amour des chevaux lui feront mener des actions d'éclat.
Qu'ai-je le plus apprécié dans ce roman ? Je ne sais pas le définir vraiment, tellement le mélange actions, grands espaces, cultures mêlées, drames, résilience, est moteur d'un intérêt qui ne faiblit jamais. Les personnages sont bien campés et en parfaite harmonie avec leurs actes, les connaissances sur lesquelles s'appuie l'histoire sont bien réelles et fruit d'un travail de recherche important, l'écriture est fluide, le vocabulaire est riche et précis. Un mot aussi sur la couverture aux tons beige-orangé, que je trouve tellement conforme à l'image que j'ai de la douleur du peuple Sioux.
Je me suis offert six belles heures de lecture, je vous souhaite la même grâce. N'hésitez pas à demander ce roman à votre libraire.
Lien : https://www.facebook.com/Lya..
Tout d'abord, je tiens à remercier Marie Nocenti, découverte avec l'interview de Joëlle Marchal dans le groupe « Lecteurs auteurs : la passion des mots », à qui j'ai exprimé le désir de lire deux autres de ses romans après « Au-delà des collines », chroniqué précédemment.
J'ai retrouvé le souffle déjà ressenti, et plongeant dans un long bain récupérateur, j'ai tourné les pages et poursuivi dans mon lit jusqu'à ce que le sommeil m'emporte, derniers mots lus.
Nous sommes en Amérique, à la fin du XIXème siècle. John Parker regagne son ranch en traversant la région de Wounded Knee, théâtre du massacre des sioux lors des dernières guerres indiennes. Grâce à son chien, il découvre une indienne et son frère, miraculeusement sauvés de la tuerie mais en grand danger. Ils s'apprivoiseront, deviendront amis et fonderont une famille. Mais les préjugés ne leur faciliteront pas la vie et le pire se produira. John Parker, homme respecté de tous, essaiera d'offrir le meilleur à ses deux enfants métis mais la société ne leur fera aucun cadeau. Wimona Louise, sa fille, aura un destin cruel mais sa fougue, sa fierté et son amour des chevaux lui feront mener des actions d'éclat.
Qu'ai-je le plus apprécié dans ce roman ? Je ne sais pas le définir vraiment, tellement le mélange actions, grands espaces, cultures mêlées, drames, résilience, est moteur d'un intérêt qui ne faiblit jamais. Les personnages sont bien campés et en parfaite harmonie avec leurs actes, les connaissances sur lesquelles s'appuie l'histoire sont bien réelles et fruit d'un travail de recherche important, l'écriture est fluide, le vocabulaire est riche et précis. Un mot aussi sur la couverture aux tons beige-orangé, que je trouve tellement conforme à l'image que j'ai de la douleur du peuple Sioux.
Je me suis offert six belles heures de lecture, je vous souhaite la même grâce. N'hésitez pas à demander ce roman à votre libraire.
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