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Critique de Cyrlight
Daire et Dace sont unis dans leur quotidien comme pour traquer les revenants de la famille Richter, mais le statut d'Echo du jeune homme risque de tout bouleverser dans ce deuxième tome des Chasseurs d'âmes. La puissance de Cade grandit et menace aussi bien les différents mondes que les deux adolescents. Parviendront-ils à l'arrêter avant qu'il n'ait causé d'irréparables dégâts ?
J'avais écrit dans ma précédente chronique que ce qui sauvait cette saga, c'était la comparaison. (Malheureusement ?) C'est toujours le cas. Sa seule qualité est d'être moins pire qu'Éternels, autant dire qu'on ne fait pas plus léger, comme éloge.
Au-delà de ça, on retrouve les mêmes défauts que dans le premier tome, en pire. Les longueurs, les personnages qui manquent de profondeur et de charisme (même si Lita et Jennika remontent un peu le niveau), l'apprentissage de la magie qui s'effectue en deux battements de cils et demi, et la romance…
Vous voulez du mièvre ? du dégoulinant ? Des « vagues d'amour inconditionnel » ? N'en dites pas plus, ce roman est pour vous ! Vous voulez autre chose ? Vous devez bien avoir un mode d'emploi ou un vieux journal qui traîne quelque part, non ?
Toute l'intrigue tourne autour de la relation Daire / Dace et, comme vous l'aurez compris, certainement pas pour le mieux. Les deux jeunes amants doivent se séparer afin de ne pas renforcer Cade (car oui, leurs batifolages le renforcent), mais en sont incapables, parce que l'amûûûûûûûûr !
Donc, pour pouvoir vivre pleinement leur idylle à l'abri du danger, ils décident de faire front commun, de mettre au point un plan bien ficelé, épaulés dans cette tâche par leurs proches qui aspirent autant qu'eux à la destruction du mal, et de…
Non, je déconne. Ils foncent tête baissée vers le danger (chacun de leur côté, évidemment), et les rares plans auxquels ils réfléchissent, je ne suis pas sûre de les avoir compris, et je ne suis pas sûre qu'eux non plus, d'ailleurs. M'enfin, ce n'est qu'un détail, vu qu'ils finissent par se télescoper et se laisser déborder par leurs sentiments mutuels au lieu de se concentrer sur leur objectif, pendant que leurs alliés se tournent les pouces dans leur salon vu que ce n'est pas leur destin.
Ah oui, et mentionnerai-je que Dace n'était pas chaste et pur au moment où il a rencontré Daire ? Il a déjà eu une relation amoureuse au préalable, mais pas de panique, c'est de l'histoire ancienne, et… Oh, une fille canon qui débarque et que les autres semblent connaître ! Mékislapeutildonbienètre ? Je me le demande !
Encore que, bien que Phyre se présente comme la garce semeuse de pagaille surgie du passé par excellence, les derniers chapitres laissent entrevoir un semblant de potentiel en ce qui la concerne. du moins, si l'auteur parvient à oublier les hormones de ses protagonistes pendant plus de deux pages, ce qui n'est pas gagné.
J'aurais bien dit que je souhaite à la suite d'être plus inspirée et mieux travaillée, mais après tous les livres d'Alyson Noël que j'ai lus, je ne nourris plus d'illusions. Les tomes 3 et 4 sont les dernières de ses oeuvres que renferme ma PAL, et une fois que j'en serai venue à bout, je me ferai une joie de tirer un trait sur sa plume.
Lien : https://leslecturesdecyrligh..
J'avais écrit dans ma précédente chronique que ce qui sauvait cette saga, c'était la comparaison. (Malheureusement ?) C'est toujours le cas. Sa seule qualité est d'être moins pire qu'Éternels, autant dire qu'on ne fait pas plus léger, comme éloge.
Au-delà de ça, on retrouve les mêmes défauts que dans le premier tome, en pire. Les longueurs, les personnages qui manquent de profondeur et de charisme (même si Lita et Jennika remontent un peu le niveau), l'apprentissage de la magie qui s'effectue en deux battements de cils et demi, et la romance…
Vous voulez du mièvre ? du dégoulinant ? Des « vagues d'amour inconditionnel » ? N'en dites pas plus, ce roman est pour vous ! Vous voulez autre chose ? Vous devez bien avoir un mode d'emploi ou un vieux journal qui traîne quelque part, non ?
Toute l'intrigue tourne autour de la relation Daire / Dace et, comme vous l'aurez compris, certainement pas pour le mieux. Les deux jeunes amants doivent se séparer afin de ne pas renforcer Cade (car oui, leurs batifolages le renforcent), mais en sont incapables, parce que l'amûûûûûûûûr !
Donc, pour pouvoir vivre pleinement leur idylle à l'abri du danger, ils décident de faire front commun, de mettre au point un plan bien ficelé, épaulés dans cette tâche par leurs proches qui aspirent autant qu'eux à la destruction du mal, et de…
Non, je déconne. Ils foncent tête baissée vers le danger (chacun de leur côté, évidemment), et les rares plans auxquels ils réfléchissent, je ne suis pas sûre de les avoir compris, et je ne suis pas sûre qu'eux non plus, d'ailleurs. M'enfin, ce n'est qu'un détail, vu qu'ils finissent par se télescoper et se laisser déborder par leurs sentiments mutuels au lieu de se concentrer sur leur objectif, pendant que leurs alliés se tournent les pouces dans leur salon vu que ce n'est pas leur destin.
Ah oui, et mentionnerai-je que Dace n'était pas chaste et pur au moment où il a rencontré Daire ? Il a déjà eu une relation amoureuse au préalable, mais pas de panique, c'est de l'histoire ancienne, et… Oh, une fille canon qui débarque et que les autres semblent connaître ! Mékislapeutildonbienètre ? Je me le demande !
Encore que, bien que Phyre se présente comme la garce semeuse de pagaille surgie du passé par excellence, les derniers chapitres laissent entrevoir un semblant de potentiel en ce qui la concerne. du moins, si l'auteur parvient à oublier les hormones de ses protagonistes pendant plus de deux pages, ce qui n'est pas gagné.
J'aurais bien dit que je souhaite à la suite d'être plus inspirée et mieux travaillée, mais après tous les livres d'Alyson Noël que j'ai lus, je ne nourris plus d'illusions. Les tomes 3 et 4 sont les dernières de ses oeuvres que renferme ma PAL, et une fois que j'en serai venue à bout, je me ferai une joie de tirer un trait sur sa plume.
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