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Critique de Yokay
Un roman qui m'attirait depuis longtemps, malgré sa note moyenne des babelionautes. La couverture, le titre, la 4e de couverture, tout me plaisait.
L'écriture est fluide et agréable, les chapitres sont courts, l'histoire alterne habilement entre passé et présent pour nous amener progressivement au noeud de l'intrigue. Mais le récit m'a tout de suite fait penser à un bon devoir. Tout y est trop lisse, trop parfait. Malgré une histoire qui s'annonce tragique, avec un mystère, du suspens, ma lecture a été poussive, je m'y suis ennuyée. Il m'a manqué le souffle épique, la tension, le sentiment d'urgence, et surtout l'émotion ! Je suis allée au bout par devoir. Heureusement la 2e partie a un peu répondu à mes attentes.
Je conseillerais donc ce livre pour ce qu'il raconte de la condition des noirs américains en 1950, en écho à ce qui s'y passe encore et toujours. Et pour le crédible reportage au coeur de la contestation anti-guerre du Viet-Nam de 1968, où l'autrice nous embarque en caméra embarquée. Enfin, pour sa qualité à décrire des prises de vue sur le vif, je voyais les photos dans ma tête (j'en ai trouvé une sur internet).
L'écriture est fluide et agréable, les chapitres sont courts, l'histoire alterne habilement entre passé et présent pour nous amener progressivement au noeud de l'intrigue. Mais le récit m'a tout de suite fait penser à un bon devoir. Tout y est trop lisse, trop parfait. Malgré une histoire qui s'annonce tragique, avec un mystère, du suspens, ma lecture a été poussive, je m'y suis ennuyée. Il m'a manqué le souffle épique, la tension, le sentiment d'urgence, et surtout l'émotion ! Je suis allée au bout par devoir. Heureusement la 2e partie a un peu répondu à mes attentes.
Je conseillerais donc ce livre pour ce qu'il raconte de la condition des noirs américains en 1950, en écho à ce qui s'y passe encore et toujours. Et pour le crédible reportage au coeur de la contestation anti-guerre du Viet-Nam de 1968, où l'autrice nous embarque en caméra embarquée. Enfin, pour sa qualité à décrire des prises de vue sur le vif, je voyais les photos dans ma tête (j'en ai trouvé une sur internet).
