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Critique de CannelleetMandragore


Une courte introduction, Clairière, mêle une très belle description de la nature et de celle d'un corps sans vie. Puis, le roman commence par l'histoire de Kara. C'est la narration du présent. Il est suivi par l'histoire d'Unni, la narration du passé. Deux destins que tout semble opposer mais qui ont évidemment un point d'ancrage.
J'ai beaucoup aimé la description de la forêt, la force de vie qu'elle distille. C'est la forêt qui abrite et qui sauve. Qui protège Unni de la fureur des hommes, enfin presque toujours. Qui blesse aussi sans jamais tuer. La cabane qui accueille Unni et Arnod semble être un lieu sacré. Une main tendue par une force divine pour sauver cette femme et cet homme et leur amour inébranlable.
La forêt est le temple qui accueille Unni la déesse mère. Une mère qui aime, qui se bat pour sa famille, qui trouve la force et qui la donne aux siens, toujours.
Mais,, ce roman m'a rapidement mise mal à l'aise. Trop de souffrances du côté d'Unni. Trop de vide dans le monde de Kara. Seul le lien qui unit Unni et Arnod m'a porté jusqu'à la dernière page.
Saga nordique, oui. Thriller, non. le secret qui se dresse entre Kara et Bricken ne fait qu'alourdir le poids des souffrances d'Unni.




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