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Critique de Squidwardq
AMELIE Nothomb a des hauts et des bas littéraire. Auteure prolifique comme peu d'autres, elle revient chaque année avec une nouvelle proposition.
Et celle ci m'a vraiment plu. Réinvention habile du compte éponyme, ce texte est amusant et grisant. Par des personnages curieux, tantôt admirables, tantôt détestable, l'auteure s'amuse à questionner et/ou de construire des thématiques qui lui sont chères : l'amour, la vanité, l'intelligence, le secret, la religion, et la curiosité morbide.
Le roman court s'écoule comme le champagne dans les flûtes de cristal précieux. On s'en délecte, lentement pour ne pas le terminer trop vite, et on en ressort avec un sentiment d'ivresse et de douce jubilation.
Bon cru que cet ouvrage, d'une puissance assez rare ces derniers temps dans le paysage littéraire il faut l'admettre.
Et celle ci m'a vraiment plu. Réinvention habile du compte éponyme, ce texte est amusant et grisant. Par des personnages curieux, tantôt admirables, tantôt détestable, l'auteure s'amuse à questionner et/ou de construire des thématiques qui lui sont chères : l'amour, la vanité, l'intelligence, le secret, la religion, et la curiosité morbide.
Le roman court s'écoule comme le champagne dans les flûtes de cristal précieux. On s'en délecte, lentement pour ne pas le terminer trop vite, et on en ressort avec un sentiment d'ivresse et de douce jubilation.
Bon cru que cet ouvrage, d'une puissance assez rare ces derniers temps dans le paysage littéraire il faut l'admettre.
