J'ai déjà lu une bonne vingtaine des romans de Nothomb, parce qu'on me les prête et parce qu'ils sont très court (les livres de plus de 400 pages ne me font pas sourciller), je parviens toujours à les terminer. Mon avis sur la qualité de son oeuvre est mitigé, j'ai adoré certains romans et détesté d'autres, mais ils m'ont toujours interpellé. C'est la première fois que je ne peux pas finir l'un des siens. J'en suis à la moitié et à chaque paragraphe je ressens un dégoût en me disant "encore la moitié à lire". Je l'ai pourtant repris 3 fois mais il n'y a rien à faire. L'intérêt de ce roman est
sans nom, tout comme son titre !
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