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Critique de Heleniah
Rien de tel qu'un Amélie Nothomb pour avoir la satisfaction de lire un livre en un seul jour et vider un peu la PAL !
Une Forme de vie n'est donc pas le plus récent, mais pour resituer l'histoire : Amélie reçoit une lettre d'un soldat basé en Irak. La correspondance s'instaure et elle découvre que Melvin souffre d'obésité. le stress des combats l'ont poussé à manger, puis c'est presque par esprit de contradiction qu'il a pris du poids.
On assiste donc à la correspondance et aux réflexions d'Amélie à la fois sur les correspondances en règle générale, sa relation avec les fans/personnes qui lui envoient des lettres, sur son rapport à l'écriture et bien sûr un peu sur sa vie à elle. Mais contrairement à d'autres romans, je n'ai pas trouvé que c'était trop envahissant, pour une fois. Les réflexions sur le problème de l'obésité sont plutôt intéressantes ; mais c'est surtout la part de réalité et d'invention qui fait encore l'ambiguïté et l'intérêt du roman, de la même manière que le jeu sur qui a le plus besoin de l'autre pour écrire et exister.
Je ne suis pas fan de la plupart des fins d'Amélie Nothomb, celle-ci ne fait pas exception.
Ce n'a donc pas été un grand coup de coeur, en revanche, tout n'est pas à jeter, loin de là, c'était une lecture agréable et qui pousse à certaines réflexions. À voir si son prochain roman de la rentrée fera parti des bons ou des moins bons !
Lien : https://girlkissedbyfire.wor..
Une Forme de vie n'est donc pas le plus récent, mais pour resituer l'histoire : Amélie reçoit une lettre d'un soldat basé en Irak. La correspondance s'instaure et elle découvre que Melvin souffre d'obésité. le stress des combats l'ont poussé à manger, puis c'est presque par esprit de contradiction qu'il a pris du poids.
On assiste donc à la correspondance et aux réflexions d'Amélie à la fois sur les correspondances en règle générale, sa relation avec les fans/personnes qui lui envoient des lettres, sur son rapport à l'écriture et bien sûr un peu sur sa vie à elle. Mais contrairement à d'autres romans, je n'ai pas trouvé que c'était trop envahissant, pour une fois. Les réflexions sur le problème de l'obésité sont plutôt intéressantes ; mais c'est surtout la part de réalité et d'invention qui fait encore l'ambiguïté et l'intérêt du roman, de la même manière que le jeu sur qui a le plus besoin de l'autre pour écrire et exister.
Je ne suis pas fan de la plupart des fins d'Amélie Nothomb, celle-ci ne fait pas exception.
Ce n'a donc pas été un grand coup de coeur, en revanche, tout n'est pas à jeter, loin de là, c'était une lecture agréable et qui pousse à certaines réflexions. À voir si son prochain roman de la rentrée fera parti des bons ou des moins bons !
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