Un G.I. basé en Irak adresse un appel au secours à l'écrivain
Amélie Nothomb : pour se rebeller il se noie dans la nourriture. L'auteur lui répond et s'engage une relation épistolière entre eux.
Une nouvelle vision d'un thème prisé par Nothomb : la nourriture.
Un amas de graisse inintéressant et ennuyeux dans le premier tiers du roman. Puis, l'obésité est élevée au rang d'art. le malaise s'installe alors, mais également une « forme de relation » entre les deux protagonistes.
Le G.I. a perdu le sens de la réalité, il vit hors du monde réel auquel l'écrivain va essayer de le raccrocher… d'une manière assez ironique ?
Certains reprocheront à Nothomb une énième mise en scène de sa personne : pourtant ce sont les passages relatifs à l'échange épistolaire et la relation de l'écrivain avec ses lecteurs et son courrier qui sont les plus prometteurs… mais pas aboutis !
Nothomb n'est-elle pas elle-même une boulimique ? Une boulimique d'écriture ?...
Une fin désastreuse…
Et puis d'excellents passages comme en atteste mes notes de citation !
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