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Critique de lecassin


Comme il m'est déjà arrivé de le signaler ici, j'ai découvert sur le tard François Nourissier alors qu'il publie « A défaut de génie ». Et depuis, c'est toujours un ravissement pour moi quand au hasard d'un vide grenier d'été, d'un bouquiniste, je tombe sur un de ses nombreux ouvrages ; cette prose, précise, maîtrisée, ciselée, parfois… élégante, souvent…

« Bratislava », Grasset 1990, est un texte très largement autobiographique, de l'écrivain vieillissant, qui se voit vieillir et qui l'assume sans complaisance, « Je vais, accompagné de mes petites misères, comme une jument suitée de ses poulains : je les regarde gambader. »
Un petit opus composé de petits chapitres thématiques, très largement axés sur le vieillir et la vieillesse ; quelques textes sur le la ville, le pays auquel on appartient , « N'est-elle pas importante, la ville où l'on a eu vingt ans ? » , quelques piques aux politiques ; et puis cet éloge à la femme enceinte, « J'ai toujours trouvé belles, désirables, émouvantes les femmes enceintes… »

Une découverte tardive, disais-je… Quel bonheur ! Il me reste de nombreux ouvrages à découvrir.
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