Ce soir là, on s'était retrouvés à l'accompagner parce qu'elle rêvait de voir la mer. La vraie mer comme elle disait. Elle ne l'aura jamais vue, et ma sœur ne sera jamais entrée à l'université. Alors, quand une crise survient, j'entends la mer.
Viens Lullabel, sinon la vilaine dame va crier parce que tu auras mis des paillettes partout.
C’est à ce moment que Time of my Life décide de retentir dans la poche de ma veste. Grand moment de solitude !
Je suis libre. Libre de vivre ma vie, libre de rire, libre de pleurer. Libre d’aimer.