Et nos yeux doivent accueillir l'aurore

Je remercie Babelio ainsi que le Livre de Poche de m'avoir permis de découvrir ce roman ! Je m'excuse d'ores et déjà auprès d'eux car je l'ai abandonné à la moitié !

Je me suis vraiment forcée mais ça ne passe vraiment pas, je ne m'attendais pas du tout à ça en lisant la 4ème de couverture.

Je n'ai pas spécialement accroché au style narratif de l'autrice et j'ai trouvé le personnage d'Ann exaspérant de condescendance et d'esprit de contradiction.
Mais par-dessus tout, j'ai détesté le récit dans les années 70 au milieu de personnages à la déchéance plus que certaine, les scènes de débauche et de prises de drogues. Il y a des moments où je ne comprenais même plus le sens de ce que je lisais. Je suis officiellement écoeurée de la période hippie aux USA, et c'est une époque que je n'aurais pas voulu vivre là-bas !
J'ai tout de même apprécié le début de la partie 2 où l'on suit Georgette dans son travail en tant qu'assistante dans la rédaction d'un magazine féminin !
Mais malheureusement, c'est vraiment tout, comme une parenthèse agréable qui s'est vite achevée.