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Critique de Vermeer


Les auteurs imaginent les jours qui ont suivi la mort de Staline et précisent qu'ils n'ont " guère eu besoin de forcer leur imagination étant incapables d'inventer quoi que ce soit d'équivalent à la folie furieuse de Staline et de son entourage"
Le petit père des peuples meurt d'une attaque cérébrale "dans la force de l'âge" selon le communiqué officiel ( à 73 ans). La réunion interminable des médecins ( la plupart au goulag suite au complot des blouses blanches), le peu d'empressement des présents à le soigner, les problèmes matériels ( épisode hilarant du respirateur artificiel) ne laissent aucune chance à Staline.
Les luttes de pouvoir, la confusion suivent l'attaque sont racontées avec un humour très caustique dans ce volume. Des couleurs sombres : ocre, marron, noir et bien sûr rouge, couleur symbole de l'URSS. Un dessin géométrique, clin d'oeil au constructivisme soviétique.
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