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Critique de Vintage
Parmi mes rares lectures dédiées au surnaturel, celle-ci a pour le coup scindé mon cerveau en 2 parties…
Une partie qui s'est pris au jeu de cette intrigue… Une jeune femme qui officie pour les services (secrets et surnaturels) de la Couronne britannique et qui se retrouve du jour au lendemain amnésique dans un parc entourée d'hommes gisant au sol avec des gants en latex … oh là j'en vois venir certain(e)s… mais non, aucun sous-entendu douteux, même si les gants en latex ont une vraie nécessité… il ne s'agit là que de surnaturel…
Admettez qu'en terme de démarrage intriguant et annonciateur de rebondissements en cascade, on peut difficilement faire mieux… le pire c'est qu'en plus notre héroïne répondant au nom de MYFANWY THOMAS avait prévu son coup : elle retrouve dans ses poches des lettres adressées à elle-même…
Bref, mieux vaut ne pas aller plus loin dans le déroulement de l'histoire … surtout que c'est là où la 2ème partie de mon pauvre cerveau a commencé à me chuchoter, tel un vieux gradé proche de la retraite : « dis-donc, l'ami… tu ne serais pas un peu vieux pour ces conneries ??!! »…
En effet, au fil de la lecture, j'ai commencé à avoir du mal à me repérer dans toute cette galerie de personnages et dans toutes ces péripéties. Il y a d'abord cette agence chargée de lutter contre des pouvoirs obscures et elle-même composée d'individus ayant tous un rôle stratégique au sein de l'agence, (référence à l'Echiquier et au titre : The Rook = la Tour) et dotés de pouvoirs surnaturels : une femme dont le corps se sépare en 4, un personnage capable de lire dans les rêves … (cela fait penser un peu à X-Men ou Men in Black pour les moments un peu loufoques)… et puis il y a surtout MyFanwy dans sa quête de la personne qui l'a trahi au sein de sa propre agence…
Un sentiment donc mitigé au sortir de cette lecture : c'est certes divertissant et un peu excentrique, dans la plus pure tradition britannique, mais ça fait un peu mal à la tête parfois …
Une partie qui s'est pris au jeu de cette intrigue… Une jeune femme qui officie pour les services (secrets et surnaturels) de la Couronne britannique et qui se retrouve du jour au lendemain amnésique dans un parc entourée d'hommes gisant au sol avec des gants en latex … oh là j'en vois venir certain(e)s… mais non, aucun sous-entendu douteux, même si les gants en latex ont une vraie nécessité… il ne s'agit là que de surnaturel…
Admettez qu'en terme de démarrage intriguant et annonciateur de rebondissements en cascade, on peut difficilement faire mieux… le pire c'est qu'en plus notre héroïne répondant au nom de MYFANWY THOMAS avait prévu son coup : elle retrouve dans ses poches des lettres adressées à elle-même…
Bref, mieux vaut ne pas aller plus loin dans le déroulement de l'histoire … surtout que c'est là où la 2ème partie de mon pauvre cerveau a commencé à me chuchoter, tel un vieux gradé proche de la retraite : « dis-donc, l'ami… tu ne serais pas un peu vieux pour ces conneries ??!! »…
En effet, au fil de la lecture, j'ai commencé à avoir du mal à me repérer dans toute cette galerie de personnages et dans toutes ces péripéties. Il y a d'abord cette agence chargée de lutter contre des pouvoirs obscures et elle-même composée d'individus ayant tous un rôle stratégique au sein de l'agence, (référence à l'Echiquier et au titre : The Rook = la Tour) et dotés de pouvoirs surnaturels : une femme dont le corps se sépare en 4, un personnage capable de lire dans les rêves … (cela fait penser un peu à X-Men ou Men in Black pour les moments un peu loufoques)… et puis il y a surtout MyFanwy dans sa quête de la personne qui l'a trahi au sein de sa propre agence…
Un sentiment donc mitigé au sortir de cette lecture : c'est certes divertissant et un peu excentrique, dans la plus pure tradition britannique, mais ça fait un peu mal à la tête parfois …
