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Critique de veronic68
Pour pouvoir apprécier ce livre, il faut avant tout accepter d'entrer dans un monde différent. Pourtant ce n'est pas de la fantasy, ni vraiment de la science fiction, mais il faut être prêt à croire que parmi nous il y a des personnes différentes qui veillent sur nous.
Myfanwy Thomas reprend conscience dans un parc, elle est entourée de cadavres et ne sais plus qui elle est. Heureusement, dans sa poche elle retrouve une lettre qu'elle se serait écrite elle-même avant de perdre la mémoire. En suivant, les indications des lettres qu'elle s'est écrit, Myfanwy va découvrir, et le lecteur avec elle, qu'il existe une sorte d'organisation secrète où les gens ont des pouvoirs et qui veille à protéger la population contres d'autres personnes qui ont également des pouvoirs mais qui sont moins gentilles.
Des personnages plus loufoques les uns que les autres, des situations abracadabrantes, le lecteur entre dans un monde insoupçonné.
L'auteur a construit son histoire entre le présent avec la Myfanwy amnésique et les lettres de l'ancienne Myfanwy, ce qui permet au lecteur d'avancer avec l'héroïne.
Une bonne dose de déjanté pour une bonne histoire à condition d'être prêt à entrer à la Checquy.
Myfanwy Thomas reprend conscience dans un parc, elle est entourée de cadavres et ne sais plus qui elle est. Heureusement, dans sa poche elle retrouve une lettre qu'elle se serait écrite elle-même avant de perdre la mémoire. En suivant, les indications des lettres qu'elle s'est écrit, Myfanwy va découvrir, et le lecteur avec elle, qu'il existe une sorte d'organisation secrète où les gens ont des pouvoirs et qui veille à protéger la population contres d'autres personnes qui ont également des pouvoirs mais qui sont moins gentilles.
Des personnages plus loufoques les uns que les autres, des situations abracadabrantes, le lecteur entre dans un monde insoupçonné.
L'auteur a construit son histoire entre le présent avec la Myfanwy amnésique et les lettres de l'ancienne Myfanwy, ce qui permet au lecteur d'avancer avec l'héroïne.
Une bonne dose de déjanté pour une bonne histoire à condition d'être prêt à entrer à la Checquy.
