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Critique de carolitne
C'est une pulsation.
Un battement régulier. Lent.
Un tempo au diapason du début du récit, qui prend son temps.
Le temps de s'enraciner. de fermer. de grandir.
Puis ça s'accélère.
Les paragraphes. Les phrases. Les mots.
La scolarité. Les études. La vie.
Le tempo du métronome s'affole, qui bat la mesure d'une vie tournée vers l'avant. Pas de reprise, le morceau, toujours ; à l'image d'une existence vouée à l'excellence.
C'est un morceau de jazz.
Une mélodie qui s'échappe par la fenêtre ouverte d'une maison du South Side de Chicago.
Rythmée. Syncopée.
La mesure s'emballe, difficile à suivre.
C'est une course contre la montre.
La vie prise dans un tourbillon.
Et quand la tempête approche, les branches s'agitent, le tronc vacille mais l'arbre tient bon.
Il a poussé. Fort. Stable. Fier.
Fermement enraciné par la solidité de ses origines.
Par la constance de la confiance.
Le souffle des critiques, le vent du jugement, les rafales du mépris n'auront pas raison de lui.
Tout juste la brise a-t-elle emporté ses graines au loin.
Qui donneront naissance à deux nouvelles pousses, protégées du vent dans la bulle d'une serre.
Qui grandiront, solides elles aussi, enracinées, fières.
Les graines du changement, du progrès, d'un monde nouveau semées dans l'esprit de la population.
Tels les plants du potager de la Maison - Blanche.
Le tempo ralentit. L'heure est à la patience.
Le temps suspendu des plantations, entre attente et déceptions , espoirs et désillusions.
Le temps du futur, serein parfois, incertain toujours.
Parce que l'arbre n'a jamais fini de grandir.
"Devenir" est l'autoportrait d'une femme en construction permanente, solidement enracinée dans un passé dont elle a fait une force qui lui a permis d'envisager un futur à sa mesure. Pour elle, pour sa famille. Pour les siens. Pour les autres. Bien sûr Michelle Obama reste Première Dame. Elle l'a été, l'est , et le sera toujours. Son passé fait son futur. le discours est donc policé, peu subversif et politiquement correct. Reste qu'il s'en dégage une grande humilité, une grande confiance en soi et en les autres, et une farouche volonté de se construire. Et de construire.
Lien : https://www.instagram.com/p/..
Un battement régulier. Lent.
Un tempo au diapason du début du récit, qui prend son temps.
Le temps de s'enraciner. de fermer. de grandir.
Puis ça s'accélère.
Les paragraphes. Les phrases. Les mots.
La scolarité. Les études. La vie.
Le tempo du métronome s'affole, qui bat la mesure d'une vie tournée vers l'avant. Pas de reprise, le morceau, toujours ; à l'image d'une existence vouée à l'excellence.
C'est un morceau de jazz.
Une mélodie qui s'échappe par la fenêtre ouverte d'une maison du South Side de Chicago.
Rythmée. Syncopée.
La mesure s'emballe, difficile à suivre.
C'est une course contre la montre.
La vie prise dans un tourbillon.
Et quand la tempête approche, les branches s'agitent, le tronc vacille mais l'arbre tient bon.
Il a poussé. Fort. Stable. Fier.
Fermement enraciné par la solidité de ses origines.
Par la constance de la confiance.
Le souffle des critiques, le vent du jugement, les rafales du mépris n'auront pas raison de lui.
Tout juste la brise a-t-elle emporté ses graines au loin.
Qui donneront naissance à deux nouvelles pousses, protégées du vent dans la bulle d'une serre.
Qui grandiront, solides elles aussi, enracinées, fières.
Les graines du changement, du progrès, d'un monde nouveau semées dans l'esprit de la population.
Tels les plants du potager de la Maison - Blanche.
Le tempo ralentit. L'heure est à la patience.
Le temps suspendu des plantations, entre attente et déceptions , espoirs et désillusions.
Le temps du futur, serein parfois, incertain toujours.
Parce que l'arbre n'a jamais fini de grandir.
"Devenir" est l'autoportrait d'une femme en construction permanente, solidement enracinée dans un passé dont elle a fait une force qui lui a permis d'envisager un futur à sa mesure. Pour elle, pour sa famille. Pour les siens. Pour les autres. Bien sûr Michelle Obama reste Première Dame. Elle l'a été, l'est , et le sera toujours. Son passé fait son futur. le discours est donc policé, peu subversif et politiquement correct. Reste qu'il s'en dégage une grande humilité, une grande confiance en soi et en les autres, et une farouche volonté de se construire. Et de construire.
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