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Critique de Alfaric


L'essentiel de ce tome 8 est consacré au combat des chefs entre Luffy et le Capitaine Creek : qui de la puissance des armes ou de la force des convictions va l'emporter ?
Dans chaque le chef des gentils affronte le chef des méchants, et ici le combat est cool et fun , sauf que :
- je ne suis pas le mangaka dans toutes ses loufoqueries
- l'action c'est bien, mais il ne faudrait pas que cela se fasse au détriment de la lisibilité…
- déjà marre des cases de remplissages où les spectateurs commentent systématiquement ce qu'il se passe juste avant

La victoire remportée le commandant Gyn promet d'aller de l'avant, Luffy utilise sur Sandy exactement la même ruse que sur Kobby pour qu'il fasse le premier pas pour atteindre son rêve. Evidemment, chialade diluvienne pour bien nous faire comprendre que les adieux de Sandy aux coqs du Baratie sont déchirants…
Suit un interlude où Yosaku vient indiquer la direction prise par Nami et le Vogue Merry, avant de rappeler que « la route de tous les périls » est arpentée par les 7 puissants capitaines corsaires dont Mihawk le faucon et Jinbei le capitaine des hommes-poissons, qui sont dix fois plus forts que les hommes…

Île machin 5 :
Nami rejoint la bande d'Arlong au long nez l'homme poisson-scie (mdr ? en tout cas tous les méchants du mangaka semblent avoir les mêmes expressions de cabotinage…), Zorro se fait capturer, et Pipo et Johnny sont recueillis par la rebelle Nojiko (encore une Nami like : décidément tous les personnages féminins semblent sortis du même moule dans ce manga) et le jeune Chabo qui veulent se venger des hommes poissons qui tyrannise et terrorise leur île… à suivre

2,5 étoiles arrondies à 3 étoiles
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