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Critique de Lamyart
/!\ Attention : une critique qui va se baser sur l'intégralité du manga /!\
Mon père m'a fait découvrir l'animé Death Note il y a quelques années en arrière, à présent, je devais être au collège. Peu de temps après, alors que je faisais ma rentrée au lycée, je me découvrais le manga et si j'avais aimé l'animé, j'ai été totalement subjugué par le format papier, en parti grâce au style merveilleux de Takeshi Obata qui est, encore aujourd'hui, l'un de mes dessinateurs favoris avec Posuka Demizu et Boichi.
Death Note raconte donc l'histoire de Light Yagami, un jeune lycéen surdoué et qui a une perception du monde bien particulière : pour lui, ce monde est pourri ! le hasard fait qu'il découvre un jour le Death Note – littéralement "cahier de la mort" – dont la première règle stipule : "la personne dont le nom est écrit dans le cahier meurt".
Jugeant d'abord ce cahier comme étant un pauvre canular, Light découvre par la suite que son pouvoir est bel et bien réel et fait même la connaissance de son ancien propriétaire, Ryuk. Voyant ici l'occasion parfaite pour purger ce monde, le jeune humain se décide alors à se débarrasser des criminels qui peuplent cette Terre afin de bâtir un nouveau monde à son image et dont il sera le Dieu...
Néanmoins, toutes ces étranges morts inexpliquées attirent l'attention de L, un mystérieux détective dont on ne connaît ni le nom, ni le visage. Une confrontation entre deux incarnations de la justice s'engage alors, sa finalité étant de découvrir l'identité de l'autre pour l'amener à l'échafaud.
Impossible pour moi de résumer plus brièvement Death Note sans gâcher le potentiel incroyable de cette oeuvre qui a su être supportée par l'auteur et le dessinateur (qui, à eux deux, forment une équipe de choc phénoménal). Death Note est pour moi le premier manga "sérieux" que j'ai regardé (puis lu) qui m'a davantage poussé à sortir de ma simple consommation de shonen nekketsu et à me tourner vers les enquêtes policières, les histoires de meurtres et tous ces sujets que je trouve toujours aussi intéressants aujourd'hui.
Le récit est prenant du début à la fin, j'apprécie même l'arc qui suit et le tout occupe une place considérable dans mon coeur. Ce sont douze tomes parfois un peu long à lire à cause de l'importance du texte à certains moments, mais dont on ne pourrait se détacher aussi facilement : on entame à peine un tome qu'il est quasiment impossible de le reposer, le suspense est toujours à son comble.
C'est une oeuvre qui se distingue également par ses personnages, principaux comme secondaires, variés et tous aussi intéressants et qui amènent au lecteur les bases de sa réflexion. Au début de Death Note, il est difficile de se dire qui est le méchant du gentil : Kira comme l'ont leur propre vision de la justice et sont tour à tour épaulés par des alliés de poids. Ainsi, on est nous-même amenés à se remettre en question... Si vous aviez un Death Note, qu'en feriez-vous ?
Bref, un très très bon manga que je recommande à tous!
Mon père m'a fait découvrir l'animé Death Note il y a quelques années en arrière, à présent, je devais être au collège. Peu de temps après, alors que je faisais ma rentrée au lycée, je me découvrais le manga et si j'avais aimé l'animé, j'ai été totalement subjugué par le format papier, en parti grâce au style merveilleux de Takeshi Obata qui est, encore aujourd'hui, l'un de mes dessinateurs favoris avec Posuka Demizu et Boichi.
Death Note raconte donc l'histoire de Light Yagami, un jeune lycéen surdoué et qui a une perception du monde bien particulière : pour lui, ce monde est pourri ! le hasard fait qu'il découvre un jour le Death Note – littéralement "cahier de la mort" – dont la première règle stipule : "la personne dont le nom est écrit dans le cahier meurt".
Jugeant d'abord ce cahier comme étant un pauvre canular, Light découvre par la suite que son pouvoir est bel et bien réel et fait même la connaissance de son ancien propriétaire, Ryuk. Voyant ici l'occasion parfaite pour purger ce monde, le jeune humain se décide alors à se débarrasser des criminels qui peuplent cette Terre afin de bâtir un nouveau monde à son image et dont il sera le Dieu...
Néanmoins, toutes ces étranges morts inexpliquées attirent l'attention de L, un mystérieux détective dont on ne connaît ni le nom, ni le visage. Une confrontation entre deux incarnations de la justice s'engage alors, sa finalité étant de découvrir l'identité de l'autre pour l'amener à l'échafaud.
Impossible pour moi de résumer plus brièvement Death Note sans gâcher le potentiel incroyable de cette oeuvre qui a su être supportée par l'auteur et le dessinateur (qui, à eux deux, forment une équipe de choc phénoménal). Death Note est pour moi le premier manga "sérieux" que j'ai regardé (puis lu) qui m'a davantage poussé à sortir de ma simple consommation de shonen nekketsu et à me tourner vers les enquêtes policières, les histoires de meurtres et tous ces sujets que je trouve toujours aussi intéressants aujourd'hui.
Le récit est prenant du début à la fin, j'apprécie même l'arc qui suit et le tout occupe une place considérable dans mon coeur. Ce sont douze tomes parfois un peu long à lire à cause de l'importance du texte à certains moments, mais dont on ne pourrait se détacher aussi facilement : on entame à peine un tome qu'il est quasiment impossible de le reposer, le suspense est toujours à son comble.
C'est une oeuvre qui se distingue également par ses personnages, principaux comme secondaires, variés et tous aussi intéressants et qui amènent au lecteur les bases de sa réflexion. Au début de Death Note, il est difficile de se dire qui est le méchant du gentil : Kira comme l'ont leur propre vision de la justice et sont tour à tour épaulés par des alliés de poids. Ainsi, on est nous-même amenés à se remettre en question... Si vous aviez un Death Note, qu'en feriez-vous ?
Bref, un très très bon manga que je recommande à tous!
