Death Note, Tome 12

Quelle fin !! C'est franchement mieux qu'un feu d'artifice !!

Je suis complètement sous le charme de ce manga qui m'a fait vivre une merveilleuse aventure avec des personnages louffoque et hyper intelligent.. trop peut être .

Je n'ai qu'une chose a dire : a lire absolument !!

Mais il reste un tome 13.. je me demande ce qu'il peut encore me réserver. Cela dit il me reste des questions en suspens justement sur certains personnages.. Comme l', Mello et Near.. j'espère y trouver des réponses

• Death Note, Tome 12
• Tsugumi Ohba (Scénario) & Takeshi Obata (Dessin)
• Kana

Douzième et dernier volume de la série, qui l'emportera, Kira ou Near ?
Une série que j'aurais pris plaisir à lire du début à la fin, ce thriller à suspens arrive à nous surprendre plus d'une fois.
Les personnages sont attachants, on ne sait jamais de quel côté se situer, est-ce qu'on a envie que Kira gagne ou qu'il perde ?
Même si Light devient de plus en plus antipathique au fil des tomes, c'est une question qu'on peut toujours se poser jusqu'à la fin.
Un manga que j'ai découvert sur le tard, que j'ai boudé à l'époque de son succès car je pensais qu'il ne me plairait pas, je me suis bien trompé, j'ai adoré !

Voici le dernier tome de la série et le lecteur va enfin connaitre le dénouement de Death Note. Est-ce que Kira va remporter la bataille et devenir le nouveau "Dieu" ? Ou bien peut-être que Near et sa cellule viendront-ils à bout de lui ? A moins que ce soit l'imprévisible Mello qui règle la situation ?
Et bien je suis heureux de vous dire que le manga connait une fin très correct, enfin du moins après la baisse de régime depuis le tome sept (et la fin de la première partie du manga).

Ce dernier tome est très bon il faut le reconnaitre, meilleur que certains tomes précédent ou je m'ennuyais légèrement en lisant tout le blabla pas toujours utile. Mello est de retour et il apporte avec lui son lot d'action.
La deuxième moitié du tome se concentre sur la rencontre Kira/Near et prend énormément de place (peut-être même trop). Il est vrai qu'Ohba fait en sorte que le scénario tienne la route jusqu'au bout et il s'en sort plutôt bien.

Une fin de tome avec beaucoup de rebondissements et sans gros temps mort, même pendant les explications des plans qui étaient alors secrets. Et d'ailleurs lors de cette conclusion on se rend vraiment compte de l'ampleur de la folie de Light. Pour ne pas spoiler je ne rentrerais pas plus dans les détails.


Le dessin d'Obata reste toujours de qualité et fait vraiment bien ressortir les sentiments des différents personnages. D'ailleurs je trouve que cette dernière couverture est plus belle que les précédentes.


Au final un douzième tome qui restera dans les anales et qui clôt une série qui n'aura pas laissé beaucoup de lecteurs indifférents.

Après 11 tomes, on commençait à s'habituer au style du scénariste, on s'attendait aux surprises, on savait qu'on allait être choqué, perturbé.
Et non.
C'était 1000 fois ça.
On tombe des nues en lisant la fin de la série, on tombe de très très haut, on tourne la dernière page et on sent notre esprit se vider : "voilà, ça finit comme ça. 12 tomes pour arriver à cette fin terrible. Terrible."
Certes, on la sentait venir. Mais depuis la mort de L, on avait plus atteint ce niveau de psychose où tous les personnages sont détestables, où on a de la peine pour tout le monde, on veut voir tout le monde gagner et tout le monde perdre.
Le lecteur est pris aux pièges par ses propres émotions, les personnages le font tourner en bourrique, il ne sait plus où donner de la tête. Il est perdu.
Et c'est délicieux.

Un dernier tome fantastique. Cela fait plaisir de voir une série qui se termine parfaitement, logiquement, pleine de tension et de suspense. Même si ce dernier tome se joue sur de nombreux monologues (on a l'habitude) et une scène unique dans un entrepôt, le récit ne manque pas de folie.
Une conclusion qui ne joue pas non plus sur la possibilité d'une suite - d'ailleurs la phrase finale met un point final à l'histoire - bref, je suis extrêmement satisfait de cette fin très bien orchestrée. Jusqu'au dernier moment, on ne sait pas comment va se terminer ce duel entre Light et Near, c'est passionnant.
Un album qui annonce tout de même un tome 13 qui permettra de revenir sur le récit et répondra aux questions que peuvent encore se poser les lecteurs ; et aussi un point sur les jeux vidéos et les téléfilms estampillés « Death Note » pour ceux qui veulent revivre le manga en anime ou en jeu…

Le dernier Death Note...
Je ne me sens pas trop le droit de juger l'oeuvre parce que c'était mon premier manga mais de mon oeil de néophyte je peux dire que ça a été une belle découverte avec une fin intéressante.
Mais évidemment ce sont les dessins qui m'ont avant tout impressionnés, avec une mention très spéciale pour Ryuk !... Un chef-d'oeuvre ! Dommage qu'il n'ait pas été plus présent.
Et le côté négatif (qui explique ma notation) aura été les explications à n'en plus finir du genre "je sais que tu sais que je sais..." D'ailleurs il vaut mieux ne pas trop étaler sa première lecture dans le temps si on veut comprendre tous les détails.

Voici donc venue la fin de Death Note. La dernière page du cahier des dieux de la mort. Et en un seul mot : "waouh" . [Sans spoilers.]


Pour résumer mon avis, je pourrais dire : sublime couverture pour fin excellente.
Et pourtant, ce n’était pas gagné. En effet, la crainte suprême de tout fan d’une série, c’est la fin. Et il ne s’agit pas d’avoir une fin heureuse, ou un dénouement malheureux. Il faut simplement que la boucle soit bouclée. Et concernant Death Note, la fin était d’autant plus attendue que la série avait été des plus surprenantes, et excellentes, dès sa sortie.


Le Death Note est ainsi le cahier des dieux de la mort, appelés shinigamis, que Light Yagami avait trouvé alors qu’il n’était que lycéen. Light obtenait ainsi, en trouvant le Death Note, le terrible pouvoir de tuer à sa guise la personne dont il écrirait le nom dans ce cahier. Il s’en était ensuite servi pour exécuter des criminels sous le nom de Kira.
Dans les tomes précédents, tout le monde s’était alors passionné pour son duel contre L, le génie qui s’était lancé à sa poursuite pour le capturer… et que Light avait remporté au grand désespoir de certains. Mais à la surprise générale, deux successeurs de L et rivaux eux-mêmes, nommés respectivement N et M, soit Near et Mello, étaient apparus. C’est ainsi qu’après avoir deviné que Light était Kira, la confrontation entre Near et Light s’apprête à atteindre sa conclusion dans ce douzième et dernier tome…


Et jusqu’au bout, j’aurais trouvé ce duel haletant et intéressant. :)
Il faut le dire, les thématiques de justice soulevées dès le début par Light / Kira avaient de quoi ébranler le lecteur, tout comme les idées de L, perpétuées par Near et Mello. C’est ainsi que chacun des personnages s’est battu : pour porter ses idées, et très certainement, les réaliser. Les deux grands discours de ce dernier tome, ceux de Light et Near, sont à l’image des courants qui se sont opposés durant la série entière.


Depuis le début, Light a d’ailleurs incarné un anti-héros certes charismatique, mais aussi controversé, tandis que les enquêteurs (L, Near et Mello) et les membres de la police japonaise, symbolisaient la justice telle qu’elle est appliquée de nos jours. Il est donc intéressant de voir à quel point tous ces personnages ont évolué, et où ils sont arrivés. Et le moins qu’on puisse dire, c’est qu’il est bien aisé de se retrouver en Matsuda, le policier qui ne peut s’empêcher d’admirer Kira, mais qui est aussi déterminé à l’arrêter.
Pour ne rien gâcher, dans ce dernier tome également et jusqu’à la fin, les duels stratégiques et psychologiques sont passionnants et ne font pas défaut. C’était indéniablement un point fort de cette série, et il aurait été dommage de se priver d’une belle bataille finale.


Le dénouement de cette série est ainsi logique, et pour ma part, c’était celui que j’attendais. J’aime beaucoup la façon dont les deux auteurs l’ont abordée, très juste. La chute de l’un, et la victoire de l’autre, n’auront d’ailleurs tenu à pas grand chose finalement. Mais cette fin ne manque pas non plus de rebondissements. :) Par exemple, même si l’histoire avait commencé avec l’ennui du shinigami Ryûk qui l’a conduit à laisser son Death Note dans le monde des humains… Je ne m’attendais pas à ce que les derniers mots soient écrits de sa main. :)


Bilan : une fin cohérente et juste d’une série qui a été excellente, et qui restera longtemps dans les mémoires.
Lien : http://gekkou.free.fr/index...

A se prendre pour un Dieu, il en a oublié qu'il n'était qu'un humain, mortel comme tous les autres... Light et Kira ne sont plus, on ne peut s'empêcher de dire ouf. Je suis soulagée que Near soit parvenu à le vaincre. J'avoue que je n'ai pas tout compris à ses explications quant aux multiples manipulations entre vrai et faux death note. J'ai compris l'essentiel mais dommage que l'explication de Near ait été aussi complexe.

Et voilà, Death note, c'est terminé ! Malgré une certaine inégalité au niveau du scénario en fonction des tomes, cette série a eu le mérite de nous faire vivre une enquête absolument terrifiante, filant la chair de poule.

Encore plus que l'histoire elle-même, ce sont les thèmes qu'elle aborde qui m'ont le plus captivés : la justice, la peine de mort, le bien, le mal, la religion, le pouvoir, la manipulation... Autant de thématiques complexes que l'auteur intègre dans son intrigue, la rendant ainsi plus dense.
Je crois avoir lu quelque part que ce n'était pas là le but de l'auteur. Ce dernier disait seulement avoir voulu mettre en place un duel psychologique entre l'et Light. Qu'il ait souhaité ou non donné cette dimension philosophique, peu importe. L'essentiel est qu'il ait réussi à nous captiver d'un bout à l'autre, malgré un scénario complexe et retors !

Douzième et dernier tome de la série Death note, j'ai vraiment adoré cette histoire jusqu'au bout. Justice est enfin faite, nous connaissons enfin le destin de Near et de Light. Qui a triomphé ? Near qui a capturé Kira ou Light qui a évincé tous les criminels du monde ? Ce manga a vraiment été un très bon moment de lecture pour moi et ma découverte de ce genre de format, j'ai vraiment beaucoup apprécié cette histoire, la qualité des personnages qui sont des personnes très intelligentes, l'intrigue qui évolue au fil de pages et enfin le dénouement qui si il n'est pas inattendu reste tout de même très surprenant. Je suis déjà à la recherche de mangas tout aussi passionnant, mais mon fils de 14 ans m'a un peu fait déchanter car quand je lui ai dit avoir adoré les personnages et leurs intelligences, il m'a répondu que ce genre de personnages était plutôt rare dans dans les mangas et qu'ils étaient plus souvent assez idiots, à suivre...
Un treizième tome est sorti pour donner aux lecteurs qui le veulent un peu plus d'explications sur chacun des personnages, je l'ai acheté mais c'est le genre de livre qui se lit de temps en temps et qui en plus est écrit en tout petit, donc je pense que sa lecture se fera au fil du temps.

La tension est montée progressivement pour enfin s'affirmer dans ce tome. Tsugumi Ohba est arrivée à faire le tenir le lecteur jusqu'à la dernière page. Qui ne Near ou de Light allaient gagner ce combat psychologique et ce jeu de dupe? On n'aurait pu vraiment le savoir. Et quand l'élément perturbateur prévu par les deux compères arrivent chacun est sur de ce que l'avenir va leur réserver. La surprise sera de taille à la fin et la justice sera vraiment rendu. La question éthique vient se poser. Quelle société vraiment les gens veulent-ils? Les dieux de la mort n'ont pas de réponses à donner à cela. C'est à chaque citoyen de réfléchir. Voilà une série qu'il fallait prendre le temps de lire aussi bien sur le fond que la forme. le scénariste a pris le temps de bien décrire les situations, les échanges pour nous immerger dans les esprits des génies et la perception de la population de la mort des criminels. On pourrait presque croire à "Blake et Mortimer" version manga par rapport à la densité de texte et de détails. Une clôture en apothéose qui satisfait pleinement car on ne laisse pas au lecteur de choisir la fin qu'il aurait aimé voir. Il y a eu une vraie prise de parti sans demi-mesure.
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