Les livres de cette auteure sont toujours emprunt de poésie. Ce livre nous présente Jonas, la cinquantaine, en pleine crise existentielle. Sa femme est partie, sa fille n'est pas de lui, sa mère perd la mémoire.... Il décide d'en finir mais pour ne pas trop choquer sa fille, il choisit de partir. Il n'emportera comme bagage que sa boîte à outil avec sa perceuse, pour accrocher le crochet pour se pendre... mais peu à peu, dans un pays traumatisé par la guerre, il répare et se répare au contact des survivants. On est ici dans un conte philosophique. J'ai beaucoup aimé, ör, les cicatrices du corps et de la vie.
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