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Critique de Missjasmin


D'une écriture belle, fluide et touchante, Véronique Olmi tente de retracer l'histoire de celle qui a oublié son prénom, dans un contexte où l'esclavage bat son plein, et déshumanise l'être humain. D'ailleurs V. Olmi cite Primo Levi, avant de commencer le récit, faisant ainsi un parallèle avec les camps de la mort.
Ce parcours de vie est fascinant. En effet, celle que l'on nomme Bakhita a endossé plusieurs statuts : petite fille née à darfour (ouest du Soudan), puis esclave, domestique, religieuse puis déclarée sainte par Jean-Paul II, le 1er octobre 2000.
Cette lecture a été difficile pour moi, surtout au début du livre, un peu trop violent pour moi, mais forcément nécessaire car rattaché au contexte. Mais, j'ai été également admirative de la force qui se dégage de cette expérience de vie, cet accrochage religieux et résilient à celui qui aime où que l'on soit et qui ne nous quitte jamais, c'est-à-dire le Dieu des hommes.
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