Les premières pages étaient prenantes, tendres, intimes, touchantes... et philosophiques. Une jolie philosophie, lumineuse, tournée vers le positif.
Puis, on change subitement de registre, et tout se mélange : les hérissons et les tziganes, le vin, le mysticisme... Un peu trop de mysticisme. Au point que cela devienne du grand n'importe quoi. Rapidement, ça tend davantage vers le délire que la philosphie. le délire n'est pas forcément inintéressant mais là, il est ultra égocentrique, et surtout : les mêmes propos se répètent sans cesse. L'auteur s'écoute écrire, sans égard pour le lecteur, et n'a pas conscience qu'il "radote". On passe rapidement de l'étourdissement à l'overdose.
Bref : grosse déception.
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