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Critique de Bunee


A venise, dans un palais défraichi, vit un éditeur blasé - ancien marin ayant jeté l'ancre - avec son assistant, Paso Doble. Une relation très particulière, faite de chicanes et de cachotteries, unit ces doubles.

En ce lieu, de l'absurde, du non sens. Un mannequin de cire vétu d'un long manteau trône ici, symbolique d'un passé obscur et tumultueux. Les objets sont facetieusement cachés par Paso Doble et sommeillent jusqu'à ce qu'on les (re)découvre quelques temps plus tard.

Parmi ces belles endormies, un vieil ouvrage, mystérieux, anonyme et poussiéreux.

Le manuscrit s'attache à raconter les péripéties d'un jeune homme, aventureux et libertin, dénommé Jacob Flint, au début du XIXe siècle, de Londres àVenise. Il doit quitter urgemment l'endroit où il vit après provoqué en duel (et tué!) l'époux de l'une de ses amantes.

Arrivé à Londres, un mafieux local l'introduit dans un lieu appelé la Taverne du doge Loredan, treffpunkt notoire des gens du milieu.

La maîtresse des lieux s'appelle Nina. Elle est belle et flamboyante, et fréquente Fielding, homme richissime et puissant, mais exhalant une odeur infernale et persécuté par deux corneilles bavardes.

S'ensuit alors un triangle amoureux presque classique: Flint et nina deviennent amants et Fielding , jaloux, souhaite se venger, provoquant une fois encore la cavale de Flint. Nina Disparait.

Une course poursuite s'entame a travers tout le continent.

(...)
http://lelabo.blogspot.com/2008/05/alberto-ongaro-la-taverne-du-doge.html
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