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Critique de KotolineBastacosi
Si j'étais Ministre permanent de l'Education Nationale et de la Culture, je donnerais Jean d'Ormesson à étudier, car au moins les élèves apprendraient, avec le plus grand plaisir, tout à la fois à lire, à écrire, connaîtraient les grands noms et les citations de la littérature française, de même que l'histoire sans oublier la géographie.
Le guide Michelin, lui aussi, n'a plus grand chose à ajouter. Quand je veux tout savoir sur une île, sur la Grèce ou l'Italie, ou tout autre pays, je lis Jean d'Ormesson - n'écrit il pas, p 145 : "L'envie nous prenait à table d'écrire un guide de l'Italie dont nous avions déjà le titre, il s'appellerait l'Italie comme on l'aime, et nous y parlerions des églises, des tableaux, des palais, mais aussi des boutiques de fringues et de mocassins, des coiffeurs et des antiquaires".
Dans ce roman, les thèmes chers à notre ami, comme Dieu, le temps, l'univers, le temps, l'amour, la littérature bien sûr, et les voyages.
Et bien d'autres sujets, des confessions, des réflexions si bien retranscrites et senties par notre philosophe. Jamais je n'ai lu d'aussi belles phrases ni ressenti autant de bonheur à les lire. Jean d'Ormesson est communicatif. Il fait du bien.
S'il sinquiète souvent sur son devenir, il apparait serein dans ce roman, et II termine son ouvrage en espérant que Dieu, s'il existe, lui dira : Je te pardonne".
On est toujours dans l'émerveillement après une lecture de ce grand homme qui a tant aimé ses semblables et leur a fait, grâce à son oeuvre, le plus précieux des cadeaux qu'il est possible de faire sur cette étrange planète, à une petite poignée d'humanoïdes.
Ce petit roman est une petite merveille.
Le guide Michelin, lui aussi, n'a plus grand chose à ajouter. Quand je veux tout savoir sur une île, sur la Grèce ou l'Italie, ou tout autre pays, je lis Jean d'Ormesson - n'écrit il pas, p 145 : "L'envie nous prenait à table d'écrire un guide de l'Italie dont nous avions déjà le titre, il s'appellerait l'Italie comme on l'aime, et nous y parlerions des églises, des tableaux, des palais, mais aussi des boutiques de fringues et de mocassins, des coiffeurs et des antiquaires".
Dans ce roman, les thèmes chers à notre ami, comme Dieu, le temps, l'univers, le temps, l'amour, la littérature bien sûr, et les voyages.
Et bien d'autres sujets, des confessions, des réflexions si bien retranscrites et senties par notre philosophe. Jamais je n'ai lu d'aussi belles phrases ni ressenti autant de bonheur à les lire. Jean d'Ormesson est communicatif. Il fait du bien.
S'il sinquiète souvent sur son devenir, il apparait serein dans ce roman, et II termine son ouvrage en espérant que Dieu, s'il existe, lui dira : Je te pardonne".
On est toujours dans l'émerveillement après une lecture de ce grand homme qui a tant aimé ses semblables et leur a fait, grâce à son oeuvre, le plus précieux des cadeaux qu'il est possible de faire sur cette étrange planète, à une petite poignée d'humanoïdes.
Ce petit roman est une petite merveille.
