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Critique de Citelle
J'ai d'abord été enchantée de ce conte brossant avec humour la vie d'un homme d'affaire breton bien connu, présenté comme rapace et sans scrupules. Son nom ne sera jamais donné, mais on devine très bien son identité (il sera juste désigné par ses initiales ou par l'expression "2 syllabes pour le prénom, 3 pour le nom").
Dans cette histoire, on croise ses semblables, ainsi que les banquiers et les avocats d'affaires.
L'écriture est évidemment magnifique et j'ai poursuivi avec plaisir ma lecture.
Hélas, j'ai peu à peu déchanté. Ce conte prenait des chemins bizarres, vaguement fantastiques et il y avait beaucoup de digressions. L'emploi de parenthèses, drôle au début, m'a semblé bien répétitif et agaçant à la longue. La langue est devenue ampoulée et l'auteur donne l'impression de "s'écouter écrire".
Finalement, on ferme le livre en se disant que le personnage principal n'est pas l'ogre VB, mais bien Erik Orsenna lui-même.
Et on reste sur sa faim : tout ça pour ça ? Pas de conclusion, pas vraiment de parti-pris.
C'est donc un coup d'épée dans l'eau pour cet auteur que par ailleurs j'apprécie. Dommage.
Dans cette histoire, on croise ses semblables, ainsi que les banquiers et les avocats d'affaires.
L'écriture est évidemment magnifique et j'ai poursuivi avec plaisir ma lecture.
Hélas, j'ai peu à peu déchanté. Ce conte prenait des chemins bizarres, vaguement fantastiques et il y avait beaucoup de digressions. L'emploi de parenthèses, drôle au début, m'a semblé bien répétitif et agaçant à la longue. La langue est devenue ampoulée et l'auteur donne l'impression de "s'écouter écrire".
Finalement, on ferme le livre en se disant que le personnage principal n'est pas l'ogre VB, mais bien Erik Orsenna lui-même.
Et on reste sur sa faim : tout ça pour ça ? Pas de conclusion, pas vraiment de parti-pris.
C'est donc un coup d'épée dans l'eau pour cet auteur que par ailleurs j'apprécie. Dommage.
