>
Critique de Marie2406
Comme quoi, il n'y a pas besoin d'être un pavé pour être un véritable chef d'oeuvre.
Avec ses 150 pages, ce roman nous délivre tout ce qu'il y a à comprendre et à savoir.
Pire encore s'il a été écrit en 1945 dans le contexte de l'immédiate après-guerre, il n'a pas pris une ride, et pourrait facilement être transposé de nos jours.
Alors c'est sûr que certains ne doivent pas rire en pensant que George Orwell les présente sous forme de cochons, mais il est évident que des dictateurs-cochons qui s'engraissent pendant que les autres animaux de la ferme suent sang et eau jusqu'à la mort pour travailler à la gloire de leur grand chef sous le joug des autres cochons et de leurs hommes à tout faire – chiens, notre planète en nourrit encore beaucoup.
Et il est à craindre que cela ne dure encore pendant bien des décennies voire des siècles, et que « La ferme des animaux » sera toujours d'une cruelle actualité.
Que dire de plus, si ce n'est que sous couvert d'une histoire de cochons, chevaux, chiens et autres volailles, qui se voudrait distrayante, nous avons l'une des meilleures satire politique qui ait été écrite.
Avec ses 150 pages, ce roman nous délivre tout ce qu'il y a à comprendre et à savoir.
Pire encore s'il a été écrit en 1945 dans le contexte de l'immédiate après-guerre, il n'a pas pris une ride, et pourrait facilement être transposé de nos jours.
Alors c'est sûr que certains ne doivent pas rire en pensant que George Orwell les présente sous forme de cochons, mais il est évident que des dictateurs-cochons qui s'engraissent pendant que les autres animaux de la ferme suent sang et eau jusqu'à la mort pour travailler à la gloire de leur grand chef sous le joug des autres cochons et de leurs hommes à tout faire – chiens, notre planète en nourrit encore beaucoup.
Et il est à craindre que cela ne dure encore pendant bien des décennies voire des siècles, et que « La ferme des animaux » sera toujours d'une cruelle actualité.
Que dire de plus, si ce n'est que sous couvert d'une histoire de cochons, chevaux, chiens et autres volailles, qui se voudrait distrayante, nous avons l'une des meilleures satire politique qui ait été écrite.
