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Critique de dunemariejose
Un bien grand petit livre, lu une première fois au lycée. On y suit l'ascension du communisme en Russie, à partir de la Révolution d'Octobre en 1917 mis en scène dans le monde animal d'une grande ferme. de ce fait, le roman historique se transforme en conte, et se lit comme tel.
Au début il y le soulèvement contre l'injustice du fermier, celui-ci est chassé par les animaux de la ferme qui prennent le pouvoir et s'organisent pour remplir toutes les tâches nécessaires à l'exploitation ainsi qu'à la défense de la ferme, car ils entendent bien y construire un lieu idéal où tous les animaux vivront heureux.
Rapidement, certains cochons deviennent des leaders et on suit la décadence du système, ainsi que cela s'est passé dans la réalité. Les porcs s'aménagent des privilèges et finissent par ressembler de plus en plus au fermier chassé.
Tout en suivant le déroulement de l'histoire, on s'attache à certains animaux, Boxer l'infatigable travailleur, qui ne met jamais en doute les propos de Napoleon, j'avais aussi aimé Snowball le penseur idéaliste, qui doit s'enfuir pour sauver sa peau quand Napoléon a pris le pouvoir.
Napoléon, on l'aura compris, est le grand méchant de la fable. le lecteur impuissant, assiste à l'exploitation de plus en plus insupportable des bêtes, qui ne semblent avoir d'autre choix que d'accepter ce que décrète leur tyran.
Si Orwell a écrit une satyre de la Révolution russe, il est en réalité contre tous les ismes, qu'ils soient de gauche ou de droite.
Ce sont toujours les mêmes qui sont exploités, en fin de compte cela ne change pas grand-chose, si ce n'est qu'il y a toujours le risque que le remède soit pire que le mal.
Au début il y le soulèvement contre l'injustice du fermier, celui-ci est chassé par les animaux de la ferme qui prennent le pouvoir et s'organisent pour remplir toutes les tâches nécessaires à l'exploitation ainsi qu'à la défense de la ferme, car ils entendent bien y construire un lieu idéal où tous les animaux vivront heureux.
Rapidement, certains cochons deviennent des leaders et on suit la décadence du système, ainsi que cela s'est passé dans la réalité. Les porcs s'aménagent des privilèges et finissent par ressembler de plus en plus au fermier chassé.
Tout en suivant le déroulement de l'histoire, on s'attache à certains animaux, Boxer l'infatigable travailleur, qui ne met jamais en doute les propos de Napoleon, j'avais aussi aimé Snowball le penseur idéaliste, qui doit s'enfuir pour sauver sa peau quand Napoléon a pris le pouvoir.
Napoléon, on l'aura compris, est le grand méchant de la fable. le lecteur impuissant, assiste à l'exploitation de plus en plus insupportable des bêtes, qui ne semblent avoir d'autre choix que d'accepter ce que décrète leur tyran.
Si Orwell a écrit une satyre de la Révolution russe, il est en réalité contre tous les ismes, qu'ils soient de gauche ou de droite.
Ce sont toujours les mêmes qui sont exploités, en fin de compte cela ne change pas grand-chose, si ce n'est qu'il y a toujours le risque que le remède soit pire que le mal.
