Le narrateur se prénomme Simon, et nous découvrons avec lui un cadavre dans son salon. La description psychologique de Simon dans cette scène d'ouverture est digne des précédents romans de l'auteur , dont on retrouve les circonvolutions mentales et la justesse d'analyse que provoque cette situation.
Alors que Simon se perd dans la situation dans laquelle il est plongé, le roman tourne au polar. Henri, inspecteur partant en retraite peut faire songer parfois à un Columbo version rase campagne. Mais, ce personnage reste énigmatique.
Un peu trop de zone d'ombres dans ce roman où pourtant le narrateur décortique sa pensée pour notre plus grand plaisir.
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