L'Afghanistan, le Liban, le Rwanda, la Syrie, l'Arabie saoudite, les soldats, la torture, l'indignation. Autant d'événements que la journaliste questionne. Entre peur et désir de savoir et de dire,
Michèle Ouimet se confronte à elle-même et nous apprend en toute simplicité. Moi, si perdue dans les jeux du monde et de la politique, j'ai cru comprendre quelques petites choses et avancer. J'ai sauté un chapitre, car il devient un peu lourd de voir la souffrance causée par les guerres et l'aveuglement des hommes. Les derniers chapitres, plus personnels encore, redonnent toute sa place au je et nous aident à comprendre son itinéraire et le métier de journaliste et à répondre à la question que l'on se pose : peut-on sortir indemne d'une telle proximité avec l'horreur ?
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