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Critique de MarieVictoire
Sur la banquise, tout est blanc, les ours comme la neige. Et Tibouli en a marre de cette monotonie. Il n'a pas envie d'hiberner, il veut voyager ! Alors il part sur son radeau de glace à la recherche de couleurs. Ce qu'il va trouver va-t-il lui plaire ?
A travers son voyage, Tibouli nous emmène à la découverte des magnifiques couleurs de la nature : le bleu de la mer, le rouge du soleil couchant, le jaune du sable chaud, le vert de la forêt... Il croisera même le gris de la ville. Mais partir si loin de ce que l'on connaît, de ce que l'on aime, ce n'est pas si facile. Et Tibouli va se rendre compte que le blanc, c'est bien aussi.
Un album qui parle de couleurs donc, mais aussi d'acceptation de soi. Tibouli part dans une quête identitaire qui va lui apprendre que souvent l'on rêve de ce que l'on n'a pas. Alors que ce que l'on a est finalement ce qui nous convient le mieux. L'auteur aborde ces thèmes importants tout en poésie dans un texte parsemé de rimes.
Ce qui frappe dans les illustrations de cet album, c'est une impression de textures. Malgré le papier glacé, on se rend bien compte que les dessins sont tout sauf lisses. On voit les reliefs de la peinture, le grain du papier utilisé par l'illustrateur pour travailler. Cela donne de la profondeur aux dessins. On plonge avec plaisir dans ce bain de couleurs passant des tons froids de la banquise à la chaleur du soleil sur la plage.
Voilà un album qui a su séduire mes petits mecs de 2 et 4 ans ! Ils sont fans de ce petit ours au nom si enfantin et le suivent avec plaisir dans son rêve multicolore.
Pour information, cet album existe en plusieurs versions : avec couverture cartonnée, avec couverture souple ou même écrit en gros caractères.
Lien : http://mamandanslesnuages.bl..
A travers son voyage, Tibouli nous emmène à la découverte des magnifiques couleurs de la nature : le bleu de la mer, le rouge du soleil couchant, le jaune du sable chaud, le vert de la forêt... Il croisera même le gris de la ville. Mais partir si loin de ce que l'on connaît, de ce que l'on aime, ce n'est pas si facile. Et Tibouli va se rendre compte que le blanc, c'est bien aussi.
Un album qui parle de couleurs donc, mais aussi d'acceptation de soi. Tibouli part dans une quête identitaire qui va lui apprendre que souvent l'on rêve de ce que l'on n'a pas. Alors que ce que l'on a est finalement ce qui nous convient le mieux. L'auteur aborde ces thèmes importants tout en poésie dans un texte parsemé de rimes.
Ce qui frappe dans les illustrations de cet album, c'est une impression de textures. Malgré le papier glacé, on se rend bien compte que les dessins sont tout sauf lisses. On voit les reliefs de la peinture, le grain du papier utilisé par l'illustrateur pour travailler. Cela donne de la profondeur aux dessins. On plonge avec plaisir dans ce bain de couleurs passant des tons froids de la banquise à la chaleur du soleil sur la plage.
Voilà un album qui a su séduire mes petits mecs de 2 et 4 ans ! Ils sont fans de ce petit ours au nom si enfantin et le suivent avec plaisir dans son rêve multicolore.
Pour information, cet album existe en plusieurs versions : avec couverture cartonnée, avec couverture souple ou même écrit en gros caractères.
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