Nous retrouvons bien le côté « osé » d'
Ovide. Les quelques traits d'humour peuvent faire sourire de temps en temps, toutefois l'ensemble de l'oeuvre me semblait un peu creux : les poèmes tournent vite en rond, hormis une petite poignée teintée d'érotisme (comme l'élégie 15 du premier livre) ou la déploration face à la porte close de l'amante. En dehors de ces exceptions, il m'a été difficile de vraiment accrocher avec l'oeuvre.
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