J'ai beaucoup aimé ce Club Aegolius. Enfin de la bit-lit sans héroïne à moitié nue et vampire sexy! Je n'ai rien contre ce style de lecture mais j'apprécie le changement. Seul reproche : la quatrième de couverture ne rend absolument pas justice au roman et en dévoile trop.
Ici le mot vampire n'est prononcé que tardivement, on est amené progressivement à la rencontre de ces créatures. Par exemple, la première partie du livre ne les évoque absolument pas: on est plongé dans l'ambiance victorienne de deux enfants quasiment livrés à eux-mêmes, de la force de leur lien et de son délitement. Cela donne encore plus de puissance à l'histoire: James n'est pas une victime anodine, c'est quelqu'un que l'on a vu grandir, on a vis-à-vis de lui la même attitude de grande soeur que Charlotte.
Ce roman est passionnant car il nous plonge dans un univers proche du Dracula originel même si le concept du Club Aegolius est différent.
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