Je n'aime pas les histoires de fin du monde car elles sont souvent prétexte au manichéisme béat. Mais Paasilinna n'est pas un maître du manichéisme. Ses personnages ne sont jamais parfaits, ni jamais complètement mauvais. de fait, cette fin du monde là n'est pas comme les autres.
Voilà des gens qui n'ont rien à faire ensemble qui se retrouvent à devoir construire un village et à y vivre, avec toutes les difficultés que cela comporte, sur la base d'un improbable testament.
C'est réjouissant et optimiste sans pour autant manquer de sarcasmes ni de cynisme.
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