J'ai découvert Leonardo Padura en juin grâce à l'excellent «
L'homme qui aimait les chiens » racontant les vies parallèles d'un écrivain cubain, de Trotski en exil et de son assassin, Ramon Mercader. En août paraîtra «
Poussière dans le vent » qui m'a à nouveau conquis, le roman des exilés cubains, des déracinés, des destins fracturés. La très belle fresque d'une bande d'amis des années 70 à nos jours, qui éclate après un grave événement. C'est dense et ça tient en haleine jusqu'au bout !
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