AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
>

Critique de Gaphanie


Le Château de ma mère commence là où s'est arrêté La Gloire de mon Père. Les parents de Marcel et l'oncle Jules et la tante Rose ont décidé de passer toutes leurs vacances à la Bastide neuve. Oui, mais voilà, la route est longue, et Augustine si fragile, que quand Joseph rencontre en chemin Bouzigues, un ancien élève devenu contrôleur du canal, il accepte après moult tergiversations le double de la clef qui lui permettra de longer le canal en coupant à travers les propriétés privées. du reste, Bouzigues compte sur son ancien instituteur pour faire une partie de son travail à sa place en lui signalant les éventuelles anomalies.
Au début, tout se passe bien, et peu à peu, les différents propriétaires se rendent compte du manège de la petite famille. Entre le jardinier qui fait semblant de les chasser et fera le guet pour eux en leur laissant des légumes à l'occasion, au noble qui les reçoit solennellement et se fait un plaisir de les voir, tout ira bien jusqu'au jour où, à la dernière propriété, un cadenas leur barre la route. Peur d'Augustine, humiliation de Joseph, l'affaire finira bien grâce au culot de Bouzigues et de ses collègues, mais Joseph et Augustine ne voudront plus jamais prendre le raccourci.
Dans le Château de ma mère, on suit les Pagnol pendant presque toute une année, jusqu'au début des grandes vacances.
On apprendra à la fin que Marcel reverra ce château où Augustine a eu si peur : par hasard, pour le tournage d'un film, il en est devenu propriétaire.
On en saura un peu plus aussi sur les destins pour la plupart tragiques de ses proches : Augustine, le petit Paul, et Lili des Bellons.
J'ai trouvé ce deuxième opus aussi réussi que le premier.
Commenter  J’apprécie          140



Ont apprécié cette critique (14)voir plus




{* *}